En Italie, se discute actuellement au Parlement une refonte de la loi sur la nationalité : la gauche bobo-radical-chic veut en effet imposer le droit du sol à la place du droit du sang.

En cette période de crise migratoire sans précédent dans l’histoire mondiale, nombreux sont les Italiens qui s’opposent à ce remaniement de la loi, qui ne ferait qu’accélérer le Grand Remplacement en marche.

Malheureusement, la gauche et tous les humanitaristes modernes qui travaillent, au nom d’une vertu de solidarité mondiale, à la mort des identités nationales, peuvent compter sur l’aide d’une institution de poids : la conférence épiscopale italienne !

Les évêques italiens, bien dans la ligne idéologique du pape François, ont fait savoir qu’ils étaient favorables à ce droit du sol qu’ils jugent même « indispensable ». Que ce Jus Soli soit surtout avantageux pour l’invasion, synonyme de mort du peuple italien, et le trafic d’êtres humains qui en est un corollaire, ne semble pas les déranger outre mesure : leur bien-pensance publique et leur humanitarisme bien comme il faut sont à géométrie variable, les étrangers étant toujours mieux que le prochain proche.

Ainsi, pendant que le pays se divise profondément, le Saint-Siège s’allie avec la Gauche radicale et soutient la reconnaissance du droit à la nationalité pour les enfants d’immigrés clandestins, nés ou résidents sur le sol italien.

« Le droit du sol et le droit culturel, explique dans un entretien à La Repubblica Mgr Gian Carlo Perego, l’archevêque très progressiste de Ferrara, sont des instruments qui amélioreraient la vie dans nos villes, en favorisant l’inclusion et la participation. »

Cela fait des décennies que les immigrophiles en marche ressassent ce refrain de l’intégration, appelée aujourd’hui pour faire du neuf avec du vieux inclusion et participation, en vantent les mérites abstraits et impalpables, sans que cette politique ne marche pour autant. A les écouter, il suffirait pourtant de prononcer certains mots pour faire naître un enchanteresque « vivre-ensemble », il suffirait de dire certaines paroles pour qu’elles acquièrent les vertus miraculeuses des baguettes magiques des sorcières de dessin animé afin de transformer une Italie au bord de l’explosion sociale en un paradis terrestre peuplé d’une humanité bariolée. L’Italie servira bientôt à l’Europe une véritable salade macédonienne…

« L’Église a demandé une nouvelle loi, nous la retenons indispensable, affirme encore Mgr Perego, président de la Fondation Migrantes de la CEI.

Pour le Vatican la loi doit être remaniée parce que, continue cet immigrationniste convaincu, elle

« ne considère pas ce qu’est devenu notre pays, ces cinq millions de migrants et une mobilité croissante. »

C’est pourquoi, Mgr Perego, l’humanitariste indifférent à l’exaspération de ces concitoyens italiens face à cette immigration sauvage qui accroit l’insécurité, le chômage, la crise économique, s’en prend aux opposants à cette réforme :

« Peut-être que ce type de contestation fait gagner des voix mais cela n’aide pas le pays. Semer la panique et la confusion ne sert à rien. Et puis, se fâche-t-il, pourquoi ne faudrait-il pas voter une loi juste parce qu’il y aurait d’autres priorités ? Cette loi aiderait beaucoup de jeunes à trouver plus facilement du travail et aiderait notre économie. »

Cet évêque vit dans un autre monde, irréel, virtuel : le chômage ne cesse de croître en Italie mais lui veut faire croire aux Italiens que donner la nationalité à des non-Italiens leur permettrait de trouver un travail… inexistant. Ou s’il existe, il invite donc ses concitoyens au chômage à accepter benoitement que leur soit préféré des étrangers fraîchement naturalisés… Voilà à quel genre d’aberrations sociétales mènerait cette loi qu’il ose appelée  » juste.

Quant aux priorités, il en est une primordiale : combattre le terrorisme et ses filières en protégeant les frontières contre l’invasion et en fermant les portes à des probables futurs apprentis djihadistes. Du coup cela résoudrait les contestations actuelles contre la refonte de la loi sur la nationalité : cette dernière ne pourrait que retourner dans le tiroir, ou la mentalité pervertie d’une gauche anti-nationale, d’où elle n’aurait jamais du sortir !

Francesca de Villasmundo

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