Dans un communiqué publié à l’issue de leur Assemblée plénière, les évêques du Kenya ont réitéré leurs accusations à l’encontre du vaccin contre le tétanos, affirmant qu’il pourrait cacher un programme de contrôle de la population, puisqu’il apparaît que le vaccin utilisé comporte une hormone qui provoque l’infertilité.
La Conférence épiscopale du Kenya réaffirme que bien qu’en faveur de campagnes de vaccination régulières (souvent menées avec l’assistance de centres de santé catholiques), elle reste préoccupée par le secret dans lequel se réalise la campagne contre le tétanos, lancée dans le pays il y a quelques mois.
L’Eglise, qui a réussi à obtenir plusieurs doses du vaccin, les a fait analyser par quatre laboratoires différents au Kenya et à l’Etranger. «Nous avons toutes les preuves démontrant que le vaccin utilisé au Kenya en mars et octobre 2014 est contaminé par l’hormone de bêta-HCG« , affirment les évêques.
Cette substance « cause infertilité et avortements multiples chez les femmes». Les évêques dénoncent aussi l’intimidation faite sur les médecins qui ont confirmé l’information. Ils demandent aux Kenyans d’éviter de se soumettre à la campagne contre le tétanos, «convaincus que c’est un programme masqué de contrôle de la population« .
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !