Les attentats sur le sol européen : un moyen pour limiter les libertés des individus.

C’est la position du fameux écrivain et journaliste italien, anti-conformiste, catholique traditionaliste, Maurizio Blondet, qui fut un temps rédacteur à Avvenire, le quotidien des évêques italiens, et à Il Giornale, journal d’envergure nationale de sensibilité à droite. Un des thèmes qu’il étudie et aborde souvent concerne « les influences des lobbies au sein des gouvernements mondiaux, surtout sous la forme de conspirations et d’attentats. »

Homme libre à la parole libre pour une pensée libre, il a bien voulu répondre aux questions de Intelligonews après les attentats de Bruxelles :

Y a-t-il quelque chose concernant les attentats de Bruxelles que l’on ne nous a pas dit ?

Maurizio Blondet : Je vous rappelle le contexte : depuis quelques années, l’armée française a envoyé ses hommes en Syrie pour combattre aux côtés de Al-Qaïda. Cela fut dénoncé par l’ambassadeur syrien auprès de l’ONU qui ne fut jamais démenti.  Ils en capturèrent certains et très chevaleresquement les renvoyèrent chez eux. Évidemment Paris s’est justifiée : « Se sont des ex-légionnaires, des vauriens devenus fous etc. » Ce n’est pas fortuit que l’attentat ait eu lieu en Belgique : Bruxelles est depuis longtemps un centre de recrutement de ce genre de personnages pour le gouvernement français.

Derrière tout ça, il y a donc la main de certains États ?

M. B. : Les massacres sont toujours des massacres d’État. Dans les années 70, il y avait deux types d’attaques. Le Brigades Rouges tuaient des personnes visées, magistrats, syndicalistes, homicides dont on comprenait la raison d’être. Puis il y avait les soi-disant « massacres fascistes ». On voulait nous faire croire que des néo-fascistes, peut-être de 18 ans, avaient mis des bombes piazza Fontana, sur l’Italicus etc, de façon à ce que la population sympathise pour sa cause. Ce n’est pas ainsi que cela fonctionne, les massacres sont faits pour épouvanter les gens qui, de toute évidence, auront peur de ceux à qui l’on attribue le bain de sang.

En attendant Salah semble vouloir collaborer. Qu’en pensez-vous ?

M. B. : Ce Salah ils nous font croire que c’est un stratège de la terreur. C’était un type qui fréquentait les bars gays, peut-être se prostituait. Il n’a pas le profil du djihadiste. Nous avons vu les images du blitz, avec lui qui s’échappe comme un poussin. Mais ce pauvre type, quelqu’un l’a possédé. Quelqu’un le contacte, lui dit qu’il faut faire une chose, et puis il se retrouve au milieu d’un massacre. Le frère était un dealer, il devait se faire exploser au stade et qu’a-t-il fait ? Il a explosé avant que les personnes sortent. Selon moi il était télécommandé. Pendant ce temps-là, Hollande, qui était au stade, allait à l’Élysée et signait les lois spéciales, déjà prêtes et signées tandis que le vrai attentat, fait par des professionnels, celui du Bataclan, était en cours.

Mais quel motif un gouvernement a-t-il pour organiser un tel massacre ?

M. B. : Certains milieux américains ont un intérêt énorme à impliquer l’Europe dans sa guerre à l’islam qui dure depuis 15 ans. Les attentats servent pour que l’Européen qui prend le métro ait peur et dise : « Non. Il faut faire quelque chose, renonçons à notre liberté. » C’est pour créer cet effet psychique qu’adviennent les attentats.

Francesca de Villasmundo

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