Tout le monde se souvient encore de la présence de Ségolène Royal, ministre du gouvernement français, aux funérailles de Fidel Castro, ainsi que des propos élogieux qu’elle a prononcés à l’égard du dictateur cubain. Le socialiste Jack Lang s’était même demandé si elle n’avait pas abusé du rhum cubain.
Mais l’explication se trouve ailleurs.
La gauche française connaîtra probablement en 2017 deux sérieuses raclées électorales. Ségolène Royal prévoit donc déjà ses arrières. Et se verrait bien succéder à Helen Clark en tant qu’administratrice du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Or, pour cela elle a besoin du soutien des pays d’Amérique latine dont les gouvernements conservent une certaine admiration pour le régime cubain.
Un siège dans un bidule de l’ONU vaut bien une célébration castriste…
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