« Vous ne posséderez plus rien dans dix ans… et vous serez heureux. »
C’est le souhait du gourou de Davos, Klaus Schwab, et il arrive à grands pas dans le monde occidental avec la Grande Réinitialisation en cours pour un « Monde d’après », propulsée par la crise du coronavirus arrivée fort à propos. Les petites marionnettes des mondialistes sont à l’œuvre de Madrid à Berlin, en passant par la France.
Plus de maison personnelle, plus de CDI, retraite à 70 ans : le Premier ministre espagnol a dévoilé son plan pour 2050 en mai dernier. Une centaine d’experts ont planché pendant un an pour, pensent-ils, faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne. Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu’à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d’impôts pour boire ou fumer. Pour le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez, qui a présenté ce plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays « nous voulons être dans 30 ans », ce futur dystopique, à coloration soviétique, est idyllique.
Jeudi dernier, l’énarque hors sol Emmanuelle Wargon, le ministre du logement d’Emmanuel Macron, a tenu des propos de même teneur idéologique écolo-communiste-compatible : les maisons individuelles, « ce rêve construit pour les Français dans les années 70 », « ce modèle d’urbanisation qui dépend de la voiture pour les relier », sont un « non-sens écologique, économique et social ». « Le modèle du pavillon avec jardin n’est pas soutenable et nous mène à une impasse », a-t-elle soutenu. « Nous devons gagner la bataille culturelle qui consiste à préférer l’intense à l’étalement, le collectif à l’individuel, la sobriété foncière à l’artificialisation des terres naturelles. Pour cela la qualité et l’esthétique des logements, en particulier collectifs, sont essentielles », commente-t-elle. Au nom de l’économie verte à venir, le Green New Deal, imposé par les élites mondialistes, passer de propriétaire à locataire dans un immeuble collectif et ne plus posséder de voiture doit devenir le nouveau « rêve » des Français…
Une ex-propriation idéologique, théorisée par Schwab et compères, qui devient réalité à Berlin. Les Berlinois ont voté à 56,4 % pour l’expropriation des grands groupes immobiliers, le dimanche 26 septembre, dans le cadre d’un référendum d’initiative populaire. Les Berlinois ont décidé de communaliser les logements des plus grandes sociétés immobilières en donnant leur feu vert à l’expropriation à des prix nettement inférieur à celui du marché de centaines de milliers d’appartements. Si pour l’instant ce projet ne concerne que des grands groupes immobiliers, cette proposition de « type soviétique », « voler au lieu de construire », a certainement de beaux jours devant elle, et non seulement en Allemagne, avec le Great Reset.
La fin prochaine du droit de propriété va exclusivement s’appliquer à la masse, et non à l’establishment du Forum de Davos, masse qui devra s’entasser dans un « habitat collectif », partagé, avec en prime le traçage numérique de sa vie privée, dont le passe sanitaire est une préfiguration. Ce nouveau communisme, pire que le précédent, sous couvert de développement durable et de protection de la planète Terre est en marche dans le monde occidental, grâce à la coronafolie planétaire.
« Vous ne posséderez plus rien dans dix ans… et vous serez heureux. »
Vraiment ?
Francesca de Villasmundo
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