En revenant de Flavigny-sur-Ozerain, ce 2 février, en revenant de ce monde du bien contre celui du mal et en gardant au cœur le triomphe de l’être sur le non-être, l’on mesurait le hiatus qui sépare deux humanités.
La première se présente au temple et se purifie en revêtant la soutane ; elle se donne aux hommes pour leur proche ou leur lointain salut et les ordonne à la divine éternité ; elle revêt le noir pour la blancheur des âmes.
La seconde s’enfonce dans la subversive perversion de l’esprit ou la subversion perverse du corps. Elle chute et ne cesse de chuter. Elle revêt les couleurs arc-en-ciel, singe l’ordre en faisant l’éloge de « l’éveil » (woke) et du progrès ; elle danse la salsa du démon. Eloge de la pureté humaine d’un côté, éloge de l’impureté de l’autre.
Il y a bien deux humanités :
- celle de la joie du séminaire et du silence des monastères résolument tournés vers le ciel ;
- celle crispée de Davos ou de l’orgie élyséenne résolument tournée vers les abîmes.
Vers la première s’ordonnent les hommes sincères. Vers la seconde se précipitent les incontinents de la pensée bavarde ou les activistes de Prométhée. Les uns sont rares, les autres font cohorte.
La plainte déposée par Christian Cotten à l’encontre de Brigitte Macron par la saisine subtile du doyen des juges d’instruction de Paris (Madame Cécile Fabre-Meyer) n’a pas été pas rejetée. Le revers de la main du juge aurait pu jeter au panier l’intérêt à agir du plaignant et les motifs incriminant le conjoint du président Macron.
Les 8 motifs incriminant Brigitte Macron, portant notamment sur son usurpation d’identité, son usurpation de fonction et l’atteinte à la sûreté de l’Etat que supposent ces deux usurpations, et qui mettent en doute le genre féminin défendu par cette dernière, n’ont pas été jugés irrecevables par la doyenne des juges d’instruction ni par le parquet à ce jour. Peut-être le soutien outre-Atlantique de Candace Owens et l’écho que, dans le monde, la journaliste américaine donne à cette vraisemblable affaire de mœurs et d’imposture intellectuelle constituent-ils des éléments favorables à la procédure engagée. Candace Owens entreprend depuis le début de ce mois une série de révélations au sujet du couple Macron et l’ampleur de cet écho ne saurait être interrompu. Il est protégé par le 1er amendement de la constitution américaine. Or le juge français ne peut rien contre le 1er amendement sauf à craindre de rendre justice dans son propre pays.
Ici nous retrouvons les deux mondes qui s’opposent et se refusent.
- Celui de la vérité et du mensonge. Celui de la révélation et de la dissimulation.
- Celui de l’intégrité et de l’imposture.
Le premier est unité dans son tout d’ordre. Le second se décline à l’infini mais se résume en deux types de révoltes : d’une part, la révolte bruyante, outrée, celle du « non serviam ! ». On y reconnait Davos, la digitalisation généralisée de l’économie, la machine qui se substitue à l’homme, bref « l’homo faber » de Descartes. D’autre part, la révolte silencieuse, sournoise, celle de la perversion intellectuelle et morale que diffusent les agents LGBTQ+ auprès des adultes mais aussi auprès des enfants.
Demeurons du côté de l’ordre…
Gilles Colroy
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