« Une étude menée dans l’Allier et le Puy-de-Dôme auprès de 90 enfants de CE1 et CE2 indique que les confinements ont eu un fort impact sur leur poids et leur souffle, faisant le lit de futures maladies chroniques. Leurs capacités cognitives ont baissé de 40 % » peut-on lire dans Le Monde, journal de référence du système, peu susceptible d’être targué d’être politiquement incorrect. Mais après des mois de confinements, masques et restrictions sanitaires dictatoriales diverses et variées, il est difficile de ne pas voir l’impact plus que néfaste de toutes ces mesures sur les plus jeunes, impact qui aura des répercussions dans leur vie future.
« Une baisse sensible des capacités physiques, mais aussi intellectuelles, des enfants, écrit Le Monde… Les effets des confinements successifs liés à la pandémie de Covid-19 sont préoccupants », selon cette étude menée auprès de ces 90 élèves de CE1 et CE2 d’écoles de Vichy, dans l’Allier, et de Riom, dans le Puy-de-Dôme, en septembre 2019 et en septembre 2020.
« Les chiffres sont catastrophiques », résume Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU Clermont-Ferrand, qui dirige l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps), et coordonne ce travail dont les résultats, préliminaires, ont été soumis à publication. En un an, l’indice de masse corporelle (IMC, poids divisé par la taille au carré), reflet de la corpulence, a augmenté de 2 à 3 points en moyenne. « Nous n’avons jamais vu ça, s’alarme la spécialiste. Des enfants sportifs, sans aucun problème de santé, aucun problème de poids, ont grossi de 5 à 10 kg, du fait de l’arrêt de la pratique sportive. Et tous n’ont pas repris l’activité physique. »
La condition physique de ces jeunes de 7-8 ans s’est fortement dégradée, révèle l’étude. Lors du test navette, épreuve classique qui consiste à courir de plus en plus vite d’un plot à un autre (éloignés de 10 m), « des enfants, déjà très essoufflés, n’arrivaient pas à atteindre le premier plot avant le premier bip », explique le professeure Duclos. Un constat également inédit, selon elle. Certains étaient incapables de faire le parcours d’habiletés motrices (parcours chronométré comprenant différents obstacles). En conclusion, la condition physique de ces 90 enfants de CE1 et CE2 s’est dégradée, notamment leurs capacités respiratoires, des enfants se montrant très essoufflés lors d’exercices sportifs simples.
« Parallèlement, continue Le Monde après avoir eu accès à cette étude, leurs capacités cognitives auraient baissé d’environ 40 %. Pour les mesurer, l’équipe du CHU de Clermont-Ferrand a notamment eu recours à un test consistant à relier les lettres aux chiffres correspondant dans l’ordre alphabétique, dans un temps imparti. Tous les écoliers l’ont fait dans le temps limite en septembre 2019. Un an plus tard, un grand nombre n’a pas terminé. ‘’Un an de confinement a été catastrophique, à un moment essentiel de plasticité neuronale‘’ constate Martine Duclos.
« Ces résultats sont d’autant plus inquiétants que la situation antérieure était déjà peu brillante, conclut le journal du soir. Ainsi, avant la pandémie, en France, 87 % des adolescents de 11 à 17 ans ne respectaient pas l’heure quotidienne d’activité physique préconisée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Et pendant le premier confinement, seulement 0,6 % d’entre eux ont atteint ce seuil, la proportion étant de 4,8 % chez les 5-11 ans (2,8 % des filles et 6,5 % des garçons), selon le Report Card de l’Onaps, l’état des lieux de l’activité physique et de la sédentarité des enfants et adolescents publié en janvier. »
Une étude de Santé publique France, publiée en mai dernier, se penchait également sur l’impact du premier confinement sur la santé mentale des enfants et adolescents. Celle-ci montrait qu’ils avaient été fortement touchés, en particulier les filles par rapport aux garçons.
« Près d’un tiers des enfants et des adolescents avaient eu plus de difficultés pour s’endormir après le premier confinement, rapporte le Huffpost qui a consulté l’étude de Santé Publique France. 30% des 13-18 ans et 27,2% des 9-12 ans interrogés évoquaient une augmentation de ces difficultés dans l’enquête publiée par Santé publique France, qui porte sur la santé mentale des enfants et des adolescents lors du premier confinement lié au Covid-19 en France. Les 13-18 ans “semblaient présenter une santé mentale plus impactée par rapport aux plus jeunes” : en plus des difficultés d’endormissement, 12,5% des ados faisaient plus de cauchemars, 18,3% avaient plus de réveils nocturnes et 27% se disaient plus fatigués le matin, tandis que 25,1% déclaraient trop manger plus souvent.
« L’enquête mettait aussi en évidence des symptômes psychologiques plus sévères, même s’ils restent plus rares : augmentation de la tristesse (7% des ados et 2,2% des enfants), nervosité (13,1% et 5,2%) ou peur importante (5,2% et 4,6%). »
Ils voulaient « sauver des vies » en imposant des restrictions dantesques et odieuses, ils -Macron and Co et les organismes internationaux style OMS et ONU- ont préparé le terrain de futures maladies chroniques chez les jeunes et diminué drastiquement les capacités intellectuelles et physiques des enfants, ils ont sacrifié sur l’autel de la coronafolie les futures générations.
Francesca de Villasmundo
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L’Europe a été faite de migrants… Mais bien sûr, et les migrants nous ont apporté prospérité depuis leurs pays tout pauvres du fin fond de l’Afrique et d’Asie ou d’Amérique, ce pourquoi d’ailleurs c’est nous qui les avons découvert et non l’inverse…
J’espère vraiment que Marine Le Pen ne passe pas. Cela serait trop facile pour l’establishment de justifier la faillite de la situation qu’ils ont créé depuis 60 ans et de prendre les Français qui en ont marre comme responsables. De toute façon, la France est coincée, le nombre de Français avec les yeux fermés est trop important, surtout chez les cathos.
Le Pape François s’est vu remettre le prix Charlemagne il me semble…qui récompense les personnalités actives à leurs niveaux de responsabilité dans la déconstruction de l’Europe civilisation au profit du projet d’une Union Fédéraliste Européenne, structure technocratique au service de la financiarisation du monde et de l’économie, de l’asservissement des peuples à l’idéologie cosmopolite mondialiste.
« Sur la France, je vous le dis sincèrement. Je ne comprends pas la politique intérieure française » …Tout est dit !
Sa réponse est donc conforme à ce qu’il fallait en attendre. Ce Pape ne connait ni l’Histoire, ni la culture de ce continent et de la France, pays dont on dit qu’elle est fille ainée de l’église dont il est le chef !
Ou alors cette connaissance ne l’intéresse pas plus que ça ! Il y a peut être des raisons objectives à cela.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Partenariat_Euromed
http://www.iss.europa.eu/uploads/media/ISSreport03.pdf
Paragraphe 3 du Chapitre II intitulé « Enjeux Essentiels » de ce document pdf
– 3. Mise en œuvre d’une approche positive à l’égard des migrants et de leurs communautés.
Les migrants sont des acteurs du processus de Barcelone en tant que migrants, et non en tant que menace pour la sécurité. De fait, traiter la question de la migration selon les principes et les valeurs de la Déclaration de Barcelone(1) a représenté un défi de taille pour les relations euro-méditerranéennes, et à plus forte raison maintenant que la question de la migration occupe une place centrale dans le discours politique et dans le domaine de la sécurité en Europe.
Par ailleurs, le processus d’intégration euro-méditerranéenne en une région unique ne pourra pas se faire si la dimension humaine en est exclue, notamment si l’autre est perçu comme un problème et non comme une chance.
Il est de la plus haute importance de traiter les communautés de migrants comme des acteurs à part entière de la coopération euro-méditerranéenne.
Les fonds qu’ils envoient génèrent des investissements ; eux-mêmes peuvent à leur tour contribuer aux transferts de technologie, voire faire passer en Afrique du Nord leur vision et leur expérience de l’Europe. Simultanément, il est essentiel de mettre fin aux comportements xénophobes à l’égard de ces communautés de migrants en Europe.
Cette question a eu des effets néfastes sur la capacité du processus de Barcelone à rendre les migrants acteurs des relations euro-méditerranéennes et cet échec a contribué à la montée de la xénophobie dans les pays européens.
L’un des principaux objectifs de l’Union pour la Méditerranée doit donc être de changer cette approche à l’égard à la fois de la migration et des communautés qui en sont issues afin de dynamiser la dimension humaine du Partenariat.
L’Union proposée devrait également faire de la lutte contre la xénophobie l’une de ses priorités, conformément aux principes énoncés dans la déclaration de Barcelone, dans laquelle il est clairement précisé que les partenaires soulignent l’importance de lutter résolument contre les phénomènes racistes et xénophobes et contre l’intolérance et conviennent de coopérer à cette fin.-
Charlemagne a contribué à la christianisation du continent européen…le prix qui le commémore est décerné à ceux qui contribuent à sa déchristianisation….
Tout va bien dans le monde de l’inversion…..