Werner Lange, docteur en histoire de l’art, sous-directeur du Musée des Beaux-Arts de Berlin avant-guerre, lieutenant de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale, a géré de 1940 à 1944 les relations entre l’occupant allemand et les artistes les plus renommés de la peinture et de la sculpture en France. Francophile et cultivé, il est revenu s’installer à Paris après la guerre. Il y a écrit directement en Français ses mémoires de guerre qu’il n’a jamais tenté de publier de son vivant.
Pendant la guerre, le lieutenant Lange était un dandy en uniforme allemand. Officier de la Propagandastaffel installée au 52 de l’avenue des Champs-Elysées, pétri d’admiration pour les artistes dont il doit s’occuper, son récit est surprenant. L’Histoire a vaguement retenu de lui qu’il fut l’organisateur de la fameuse visite officielle des artistes français en Allemagne. Il y avait avec lui Vlaminck, Derain, Legueult, Despiau, Othon Friesz, Dunoyer de Segonzac, van Dongen, Oudot, Landowski et Belmondo. Et l’éditeur Henri Flammarion. Le lieutenant Werner Lange fut aussi l’organisateur de la grande exposition Breker à Paris, avec l’inauguration en présence de Jean Cocteau.
Mais cet ouvrage livre bien d’autres anecdotes. Il accompagne Arno Breker dans son voyage à travers la France. Il dîne en tête à tête avec Picasso dans un restaurant clandestin du marché noir. Il va à Banyuls pour convaincre le peintre et sculpteur Aristide Maillol de venir à Paris pour l’inauguration de la grande exposition Breker. Il va passer des dimanches chez Vlaminck et Utrillo. Il reçoit des cadeaux spontanés des artistes français, destinés à Joseph Goebbels. Il sort Dina Vierny, muse d’Aristide Maillol, des griffes de la Gestapo. Il empêche l’arrestation du marchand d’art Emmanuel David. Il fait libérer le fils de l’expert en art André Schoeller.
Ce livre regorge d’informations inédites et permet de découvrir la vie du monde des artistes en France occupée, loin des préjugés.
Les artistes en France sous l’Occupation, Werner Lange, éditions du Rocher, 174 pages, 17,90 euros
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Oui… mais ils continuent à obéir aveuglément à des assassins !
Et comme le dit l’expression, c’est là que le bât blesse.
J’envois ça à des amis parents de gendarmes !
Le ver est dans le fruit et c’est tant mieux.
La prochaine fois, ils réfléchiront avant de coller des contredanses à 135 balles à ceux qui résistent aux dictateurs sanitaires.
Bureau des pleurs fermé .Ces braves gens défendent le diable ,,ont reprimé les appels au secours des gilets jaunes ,Agressent les croyants qui manifestent leur attachement aux preceptes divins . »C est la loi !!! »Oui ,,ils appliquent avec zele la « »loi « de la secte ,,Ses dispositions a faire de nos vies un enfer .Quand on délègue toute autorité sur soi ,,qu on vend son ame au diable ,,on assume ,,on ne vient pas chouiner comme un mome .J ai bac moins 3 ,,je savais que le vax était satanique ,,Alors ,,ou sont les malins ,Le paien a choisit son maitre ;;D autres se confient en le Vrai Dieu .
ce sont de fidèles larbins du système
Sébastien Reccia ,un bon .Sur odyssée car youtube c est la censure ,,me bloque de com donc liens pas transmissibles ,,https://odysee.com/@Verdi:4/10000000_841397223852555_2292195783607249656_n-1:e
Mieux vaut tard que jamais, assure-t-on. La Vérité finit toujours par triompher. Ces témoignages sont tardifs, certes, mais constituent une lueur d’espoir dans le tunnel de 3 ans de mensonges et d’asservissement.
Les vrais coupables sont les lavettes qui se sont laissé décérébrer, et qui ensuite de cela se sont mis à élire des bandits. Dont le 1er par deux fois.
Au moins les ânes, eux, il ne butent pas deux fois sur la même pierre. Ce qui tendrait à prouver que les électeurs français ne sont pas des lumières.
Ce n’est pas demain que l’on entendra ces témoignages sur nos médias nationaux. Pas plus chez Pascal Praud qu’au JT de Tf1.