Rubrique « nos chers amis » : allemand un jour, allemand toujours.
Nous savions tous que la perfide Albion a, de tout temps, été notre ennemi intime.
Gardons toujours en tête cet échange entre Surcouf et un officier anglais : “Vous, Français, vous vous battez pour de l’argent. Et nous, Anglais, nous nous battons pour l’honneur. – Chacun se bat pour ce qui lui manque !”
Nous nous doutions, sans être germanophobes, que nos voisins d’Outre-Rhin, tout en étant européens, étaient surtout à la botte des Yankees.
Nos doutes sont confirmées par la dernière turpitude de nos chers Teutons pris la main dans le pot de confiture.
Après après la fuite d’un enregistrement de plus de 30 minutes entre plusieurs officiers allemands de haut rang qui discutent de l’usage éventuel de missiles de longue portée Taurus dans la guerre en Ukraine, les dirigeants, l’inconstant Olaf Scholz en tête, sont pris en flagrant délit de mensonges.
Officiellement, le chancelier allemand avait déclaré à la fin du mois de février : «De mon point de vue, ce serait quelque chose qui ne serait pas responsable si nous participions de la même manière [que les Français et les Britanniques] à la gestion du ciblage» de ces missiles, qui pourrait faire courir le risque que l’Allemagne se retrouve «d’une certaine manière impliquée dans la guerre» directement.
En réalité, il traitait en sous-main aves Biden et ses complices pour savoir comment, avec ses Taurus, faire sauter le le pont de Kertch en Crimée, liaison précieuse dont se sert la Russie pour ravitailler ses forces.
Nul doute que la grosse voix de Vladimir va en inquiéter plus d’un va-t-en-guerre en Allemagne, comme en France d’ailleurs
Paul DEROGIS
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