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Les affiches blasphématoires et antichrétiennes du film « Au nom du Fils »

Des affiches blasphématoires surgissent ces jours-ci dans différentes villes de France. Elles font la promotion d’un film belge qui prétend être une « comédie sombre » et qui prend la pédophilie comme prétexte pour justifier l’assassinat de tous les prêtres et religieuses.

Trois versions de l’affiche du film existent déjà.

La première version, utilisée en Belgique durant le mois d’avril, détourne une représentation de la Sainte Vierge tenant dans ses bras l’Enfant-Jésus. Sur cette affiche, la Sainte Vierge tient un pistolet en main et l’Enfant-Jésus a un crucifix entre les jambes.

Cette première version de l’affiche a été refusée sur tout le territoire français.

La deuxième version de l’affiche, utilisée en province, a retiré le crucifix coincé entre les jambes de l’Enfant-Jésus. Mais cette version a été refusée à Paris.

La troisième version de l’affiche, utilisée à Paris, montre une religieuse assassinée, baignant dans une mare de sang. Ce matin, à la radio belge, Vincent Lannoo, le réalisateur de ce film, éclatait d’un rire gras en décrivant cette troisième affiche.

Fort heureusement, ce film peine à trouver des salles de cinéma pour l’accueillir. A peine 80 salles sur toute la France, dont une seule à Paris, devraient se compromettre avec un tel film ouvertement anticatholique.

Vincent Lannoo ne remet pas pour autant son film en question. Pour lui, si son film est mal accueilli en France, c’est tout simplement en raison de la peur grandissante… des intégristes catholiques ! Il paraît même, à écouter Vincent Lannoo, que les afficheurs craindraient que le matériel urbain soit vandalisé et que les propriétaires de cinémas auraient peur pour leurs sièges. Et si cela traduisait tout simplement que de telles provocations antichrétiennes restent inacceptables ?

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