Nos lecteurs ont tous en mémoire l’incroyable semaine de promotion de la théorie du genre et des mœurs LGBT qui s’est déroulée à Sciences Po.
Mais il faut souligner le rôle de la Commission européenne dans cette promotion de l’idéologie du genre.
Sous l’obscur intitulé « Presage » se cache le « programme de recherche et d’enseignement des savoirs sur le genre ». Presage coordonne différents projets dont « Egera », autre appellation hermétique qui signifie « effective gender equality in research and the academia ».
Six universités et centres de recherche européens, dont Sciences Po Paris, sont partenaires dans ce projet financé sur quatre ans à 70% par l’Union européenne. Soit un investissement de 2,2 millions d’euros de l’institution européenne.
Hélène Périvier, coordinatrice du projet, explique : « L’idée est de promouvoir un axe sexué et genré dans les recherches et dans les enseignements ».
C’est le traité d’Amsterdam qui, dès 1997, a fait de la promotion de l’idéologie du genre un critère prioritaire de sélection des projets financés par l’Union européenne.
Mais c’est dès les années 1980 que certains ont commencé leur lobbying en ce sens. Agnès Hubert se confie volontiers : « A la fin des années 1980, je me suis battue pour l’utilisation du mot « genre ». A l’époque, déjà, il y avait une résistance des Français à ce sujet ». Aujourd’hui, Agnès Hubert est conseillère du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso. Elle est notamment en charge des questions de … genre.
Ecoutons encore Hélène Périvier : « Toute institution faisant un travail sur l’égalité femmes-hommes et le genre a davantage de chances d’obtenir des crédits de recherche. Même si vous vous moquez du sujet, il vaut mieux pouvoir cocher l’item « gender equality » ». Quel aveu !
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