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L’enfance, abandonnée à la drogue, est privée d’avenir avec les salles de shoot’

Absolument formatés, les uns comme les autres, avec le « bac pour tous » avant le « chômage pour tous », les jeunes indignés, « tous drogués », selon les vœux du Peillon pro-légalisation des drogues, partagent le même espoir d’un avenir meilleur, grâce à l’instauration socialiste des salles de shoot’. Grâce à la nouvelle loi « anti-santé », politiquement très opportuniste, des anarcho-nihilistes de la gauche ultra, les enfants pourront découvrir des lieux où « accéder aux drogues », en signe d’ouverture politique aux « djeuns ».

On comprend que les « chemins de l’école » de la drogue « pour tous » viendront combler les carences et la « culture de l’échec » de l’éducation nationale socialiste. Les chemins de la drogue ne sont plus séparés des chemins de l’école. La drogue est accessible « pour tous ». C’est la nouvelle école de l’échec « pour tous ».

C’est un substitut idéologique des activistes de l’éducation nationale socialiste « en eau trouble ».

Pourquoi faire le moindre effort pour aller en classe et pourquoi travailler ? La politique de Hollande doit « anéantir les classes moyennes et la population qui travaille », par une « confiscalisation » qui durci toutes leurs conditions de vie. Dans le même temps, les manœuvres habituelles de diversions de la médiocrité, de l’incompétence, de l’impuissance et de l’amateurisme de l’État-PS créent, dans la réalité, des salles de shoot’.

Il s’agit d’abord de permettre aux plus pauvres d’accéder aux paradis artificiels « à bas coût ».

Ces jeunes indignés, « tous drogués », sont les futurs « martyres de la république socialiste ».

Ils sont poussés vers la consommation de drogue, à cause du manque de rigueur et de discernement des nullités insupportables qui composent les rangs socialistes, qui tentent de capter l’électorat des « djeuns ».

Chacun doit s’incliner devant la « tragédie du déshonneur » de l’éducation nationale socialiste. Après les attaques contre les familles normales, et contre les parents d’élèves, avec la tyrannie idéologique des « ABCD de l’égalité » de l’État-PS, contre la laïcité à l’école, la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT a assuré le relais avec les activistes de la cause anti-SIDA, pour l’instauration des salles de shoot’.

Après la destruction déterminée de la « famille hétérosexuelle normale », les activistes du lobby GOF-LGBT complètent leur action, avec ce programme de shoot’ et de « destruction des enfants par la drogue ».

Beaucoup d’enfants seront abandonnés à la drogue, privés de leur enfance normale et de leur avenir.

Certains ont osé dire, comme le fameux Peillon, qui prônait la libéralisation de la drogue, que c’était une erreur de priver les enfants des bienfaits du Haschich. En désespoir de cause, il vaut mieux les faire venir dans des salles de shoot’. Cela est sûrement honteux, mais pas pour les activistes du lobby GOF-LGBT.

Le pape François a pourtant imploré : « Ne chargeons pas les enfants de nos fautes ! »

Il a mis en cause la « responsabilité sociale » des élus et des États, en vain.

Car, cela n’a pas empêché les députés de voter pour l’expérimentation des salles de shoot’.

Le sentiment de la « fin irrémédiable » de la république socialiste traverse aujourd’hui le monde et la pensée consciente d’une majorité d’électeurs. Les élus socialistes, qui sont des inutiles et des dangereux, sèment la terreur dans les esprits des gens normaux, avec des « lois absurdes » de plus en plus insensées.

Du moins, peut-on encore espérer que la république socialiste « qui meurt » n’emporte pas tout le « sens commun » avec elle, en laissant une « dette toujours plus monstrueuse ».

L’instauration des salles de shoot’, c’est avant tout un signe de « grand désarroi » d’une classe politique qui voit ses espoirs de réélection « fondre à vue d’œil », dans les sondages.

L’influence de la gauche ultra est la peste idéologique des activistes forcenés du lobby GOF-LGBT.

Ils viennent conforter les esprits des gens normaux, dans ce sentiment de la « maladie incurable » de la république socialiste, en fin de vie, condamnée irrémédiablement au déclin.

L’acharnement à banaliser les salles de shoot’, pour accéder aux paradis artificiels des drogues « pour tous », c’est-à-dire pour que les drogues soient mises « à la portée de tous », est un acte dont la portée sociale, contre toute éthique, constitue un nouveau « déni de réalité » des idéologues du lobby LGBT et de l’État-PS.

Se demander « pourquoi inventer aujourd’hui une nouvelle loi », pour promouvoir des salles de shoot’, c’est vouloir ignorer les principes de la « domination idéologique et politique » de la civilisation industrielle de la chimie et du médicament. Ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui assurent la promotion des drogues de substitution. Ils mettent en œuvre la propagande néfaste du « tout-médicament » en faveur des drogues.

C’est pourquoi certains peuvent penser que les principes de la « Communauté Thérapeutique » n’ont pas la moindre chance de bénéficier, un jour, d’une actualité politique, dans la république socialiste.

La promotion des drogues, avec l’instauration des salles de shoot’, répond donc, pour l’essentiel, à l’atmosphère générale « socialo-laxiste » en matière de « déresponsabilisation » des jeunes et de la « société ».

Le « culte de l’irresponsabilité » des élus socialistes doit « encourager l’irresponsabilité », non seulement des parents et des éducateurs, mais aussi l’irresponsabilité des bureaucrates, qui anéantissent les institutions sanitaires qui sont censées protéger les jeunes en difficulté, avec la « dépendance aux drogues ».

Malgré cela, les principes de la « Communauté Thérapeutique » s’opposent à la plupart des courants socialo-laxistes, éducatifs et judiciaires, marqués par un laisser-aller irresponsable, très répandu de nos jours.

Depuis sa création, la « Communauté Thérapeutique » accompagne des jeunes confrontés aux effets destructeurs de la drogue. Cette question difficile provoque des débats chez les spécialistes des drogues.

Mais les objections des spécialistes sont rejetées par les activistes de la cause anti-SIDA, qui militent pour l’instauration des salles de shoot’. Leur seule actualité politique consiste précisément en ceci que « leur destin » est en jeu, si le gouvernement socialiste ne favorise pas la consommation de drogue « pour tous ».

Les activistes de la cause anti-SIDA le savent bien, c’est la gauche ultra qui favorisent la drogue. Leur destin est de devoir « enfermer les jeunes dans l’inhumanité » et l’enfer des drogues « pour tous ». Les questions de santé publique se révèlent être secondaires par rapport à la tyrannie idéologique de la drogue « pour tous ».

Beaucoup de jeunes confient leur destin à « l’enfer de la drogue », sous la pression des copains et par « peur de la vie ». Vouloir enfermer les jeunes dans « l’inhumanité » des drogues « pour tous », avec l’instauration des salles de shoot’, c’est cautionner une nouvelle forme de « maltraitance socialiste » faite à nos enfants.

Cette nouvelle « loi sans âme », qui doit légaliser les salles de shoot’, fait que c’est la vie même de nos jeunes qui est en jeu. Que la tyrannie idéologique de la drogue « pour tous » soit considérée comme une « liberté mortifère », les pouvoirs publics veulent le nier, pour laisser croire à une avancée des lois socialo-populistes.

Cette « loi sans âme », qui doit légaliser les salles de shoot’, manque d’éclairage scientifique. Aucune étude scientifique n’a été menée par des associations totalement libres vis-à-vis de la propagande idéologique des activistes forcenés, du lobby GOF-LGBT, en faveur des salles de shoot’.

Le projet de loi prévoit l’extension des salles de shoot’, après une soi-disant expérimentation faussée.

Cette soi-disant expérimentation est pilotée par des activistes et militants, soumis à une idéologie « pro-drogue » dénaturée. En conséquence, cela revient à « dénaturer l’essence même de la lutte » contre les drogues, dont la mission est de « prendre soin des enfants », en prenant conscience des « risques de la drogue ».

Dr Thierry-Ferjeux MICHAUD-NÉRARD

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