La photographie parle d’elle-même ! Et témoigne d’un scandale sans précédent, d’un blasphème pour être plus exact, encouragé par le curé de la paroisse de la Breña , celui en jaune, entouré par le peuple gay qui ne fait vraiment pas rire…
Ceux qui entourent le prêtre dans son église sont des drag-queen, le même genre de dépravés qui le 21 juin dernier entouraient le couple présidentiel français à l’Élysée. Les autorités morales et politiques de nos temps d’apostasie donnent la main aux invertis dans une diabolique sarabande nihiliste…
Que font dans l’église, sous le crucifix antique, rappel d’une religion chrétienne oubliée, ces ‘artistes’ homosexuels ? Tout simplement, le curé leur a donné la permission de se changer en ce lieu sacré avant leur ‘gala’ réservé aux drag-queen qui se déroule toutes les années sur l’île de Gran Canaria, ce lieu dévolu au tourisme gay. La sacristie est devenue pour quelques heures le vestiaire attitré de ces drôles d’oiseaux colorés !
Le père Fernando Báez n’a pas hésité un instant pour leur prêter l’église. Et à la fin du make-up, tout ce beau monde n’a rien trouvé de mieux que d’immortaliser ce moment sacrilège sous le regard du patron de la maison, le Christ crucifié.
La photographie a fait la Une des réseaux sociaux en Espagne et n’a pas soulevé la moindre indignation de la part du diocèse. Le vicaire général, le Hipólito Cabrera, a expliqué aux journaux qu’il « n’y avait rein à dire » et qu’il s’agit là « d’un fait interne ».
Que la religion catholique soit salie par une telle image et qu’un sacrilège soit commis avec l’aval du curé, ne posent aucun problème à ces ecclésiastiques conciliaires attirés par « l’orgueil gay » qui investit et prend possession de l’Église du pape François.
L’Église gay est en marche… vers l’enfer !
Francesca de Villasmundo
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