Si le propos de ces évêques progressistes germains, imbibés d’ides humanitaires et mondialistes bergogliennes bon ton, est scandaleux il n’est pas si étonnant sous le pontificat du pape François : il y a 50 ans c’était le Rhin qui se jetait dans le Tibre, maintenant c’est le Tibre qui se jette dans le Rhin !
«Le président de la Conférence épiscopale allemande, écrit Maurizio Blondet, le cardinal Reinhard Marx a dit : « La question se pose si on peut voter pour l’Alternative fur Deutschland. Très clairement : l’action politique qui fomente la xénophobie, qui souligne de façon unilatérale les intérêts nationaux et une vision culturelle nationaliste est incompatible avec une conception chrétienne… nous nous dissocions pleinement de l’approche populiste. »
De cette manière l’Église allemande (Marx dixit) confirme son adhésion aux idéologies globalistes typiques de l’ère Bergoglio : diabolisation du « populisme » et de l’intérêt national, résistance à l’invasion de millions d’immigrés islamistes désignée comme de la « xénophobie ».
C’est une nouveauté absolue : avant aujourd’hui, l’Église de Kasper, Marx et Rahner n’a jamais officiellement interdit de voter pour un parti spécifique. Ni n’a jamais condamné la participation du gouvernement Merkel aux guerres moyennes-orientales de Bush et Obama ; en général, le rapport avec le gouvernement fédéral est très étroit.
Même si au cours du sommet qui s’est tenu jeudi dernier à côté de Cologne, à Bergisch-Gladbach, les évêques allemands ont, par la bouche de Marx, évoqué l’implication occidentale dans la guerre en Syrie et les sanctions UE contre la Syrie, dans la mesure où elles ont un effet dévastateur sur la population civile et sont un obstacle à la reconstruction, ils n’ont pas su exprimer une résolution claire contre la guerre ! »
Francesca de Villasmundo
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