En début de semaine, la cour d’assises de Seine-et-Marne jugeait un homme de 30 ans, pour le viol d’une fillette de 11 ans commis en 2009. Ce Cap-Verdien a été acquitté dans la mesure où il n’y aurait pas eu de « contrainte » dans la relation sexuelle. Les jurés de la cour d’assises ont considéré que les éléments constitutifs du viol, « la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n’étaient pas établis » a expliqué le procureur de Meaux, Dominique Laurens. Le parquet général qui avait requis huit ans d’emprisonnement assortis d’un suivi socio-judiciaire a aussitôt fait appel de cette décision.
Les faits se sont produits en août 2009, explique Laure Habeneck, l’avocat de la jeune fille, aujourd’hui âgée de 20 ans. Elle s’était rendue dans un parc avec l’accusé, 22 ans à l’époque, qui venait de l’aborder tandis qu’elle jouait avec sa cousine dans la cour d’un immeuble à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Ils avaient eu une relation sexuelle, consentie selon l’accusé. Il affirme aussi que la jeune fille avait menti sur son âge, ce qu’elle conteste. La famille de la jeune fille avait eu connaissance des faits en 2010, en découvrant sa grossesse. Son enfant, 7 ans aujourd’hui, avait été placé dans une famille d’accueil. « Pour ma cliente », ce verdict « est un deuxième traumatisme, a dit son avocat. Je ne le comprends pas ».
Cette décision intervient alors qu’une affaire similaire, révélée en septembre, a suscité la controverse : le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) a décidé de poursuivre pour « atteinte sexuelle » et non pour « viol » un homme de 28 ans pour avoir eu une relation sexuelle avec une enfant de 11 ans. Les enquêteurs ont considéré que cette relation était consentie car aucune contrainte physique n’a été exercée sur la mineure, alors que la famille de la fillette a porté plainte pour viol, décrivant une enfant tétanisée, incapable de se défendre. Le procès a été renvoyé à février, pour des questions de procédure.
Ces jugements des cours françaises sont répugnants !
Mais pire, ils déterminent la légitimation de la pédophilie, autre dépravation que le Nouvel Ordre Mondial Sexuel veut imposer à l’humanité. Tous ces # qui fleurissent sur touitter pour dénoncer le harcèlement sexuel, #balancetonporc ou #metoo, dont les consciences morales bien-pensantes de l’hexagone, l’establishment politique et judiciaire et les médias mainstream se font les relais empressés, ne sont que des belles hypocrisies d’une « élite » française qui, dans les faits, livre en pâture l’innocence des enfants à des pervers pédophiles !
Francesca de Villasmundo
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