L’économie n’est pas le premier paramètre à envisager pour savoir s’il est nécessaire de quitter l’Union européenne. En bonne logique, l’économie doit être une conséquence du politique, ainsi que ce fut le cas jusqu’à une période récente de l’Histoire, et non l’inverse. En votant pour la sortie de l’Union, les Britanniques ont clairement mis au premier plan de leurs considérations, leur identité nationale menacée par une immigration islamique de masse.
Mais l’immigration est fortement liée à l’économie puisque c’est l’un des plus puissants moteurs du mondialisme lié à sa politique de mort et à son plan de Grand remplacement des peuples autochtones d’Europe.
Sujet intéressant à approfondir, mais Jacques Sapir et son invité, Philippe Moreau-Defarges, analysent prosaïquement l’aspect uniquement économique des premières conséquences du Brexit par lequel les mondialistes ont pensé remporter, à tort, son rejet :
Révolution en Grande-Bretagne : Theresa May s’est engagée cet été à mettre sur pied une véritable politique industrielle dans un pays ravagé par 35 ans de « néo-libéralisme », ceci équivaut à une petite révolution. Cette décision prise à la suite du Brexit peut-elle être le signe d’une nouvelle embellie économique pour les Britanniques?
Avec son invité: Philippe Moreau-Defarges, ancien diplomate et politologue.
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