« Londres est plus islamique que bien des pays islamiques mis ensemble » a déclaré Maulana Syed Raza Rizvi, un prédicateur musulman londonien.
La Grande-Bretagne s’islamise lentement mais sûrement au plus grand contentement de la Saudi Gazette financée par l’Arabie Saoudite qui le 10 octobre dernier titrait :
« Londres la musulmane : 423 nouvelles mosquées et 100 tribunaux de la charia. »
Dans la capitale anglaise, où les église ferment, -plus de 500 cette dernière décennie-, les mosquées poussent comme des champignons et la charia est appliquée dans des « no-go-zone » devenues des fiefs du coran intransigeant. Sous l’œil flegmatique d’un troupeau d’Anglais déchristianisés. D’après des récentes études, le nombre de musulmans ne cesse d’augmenter tandis que proportionnellement celui des chrétiens ne cesse de diminuer. Dans une génération, leur nombre, toutes confessions chrétiennes confondues, sera trois fois plus bas que celui des fidèles musulmans qui vont à la mosquée le vendredi.
Et cette courbe ne semble pas devoir s’arrêter : le pape François et ses compagnons de route, du cardinal Parolin aux évêques pluriels, s’obstinant à prêcher, en compagnie de politiciens traîtres à leur pays et à leur identité, l’abandon de la défense des frontières européennes pour une ouverture à tout va aux cohortes de migrants majoritairement musulmans.
Paris, Rome, Milan, Berlin, Lyon, Bruxelles et bien d’autres villes européennes sont sur le même chemin de l’islamisation d’une partie de leurs quartiers et de leurs banlieues occupées…
Francesca de Villasmundo
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