Les groupes féministes du monde entier utilisent le virus « Zika » pour promouvoir l’avortement. Des organisations comme Women’s Link Worldwide (USA-Colombie) utilisent la peur de la maladie pour faire avancer l’agenda de la culture de mort.
Pourtant, la déclaration officielle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) signale que seulement une personne sur quatre affectée par la maladie souffre des symptômes et que le taux d’hospitalisation est faible. Les effets sont généralement limités : pas de forte fièvre mais une conjonctivite pendant 2 à 7 jours. Les personnes atteintes doivent être mises au repos, boire beaucoup et prendre des analgésiques. L’OMS recommande à la population l’utilisation de répulsifs et de moustiquaires pour se prémunir des moustiques.
Par ailleurs, le Centre des Maladies Contagieuses d’Atlanta souligne que la relation entre le virus Zika et les milliers de microcéphalies dont parlent les médias n’est absolument pas prouvée dans la majorité des cas et conseille aux femmes enceintes d’utiliser un répulsif contre les moustiques et de dormir les fenêtres fermées.
Mais le lobby de la culture de mort, des féministes aux fondations de mondialistes soucieux de réduire la population mondiale, exploitent ce virus pour promouvoir l’avortement.
Monica Roa, de Women’s Link Worldwide, a déclaré «Je ne dis pas qu’il faut recommander à toutes les femmes atteintes par Zika d’avorter mais il faut les informer des options qu’elles ont. »
Les politiciens pro-avortement et les médias ont rejoint cette campagne destinée à effrayer la population. Le sous-ministre de la Santé de Colombie, Fernando Ruiz Gómez, affirme que « toutes les grossesses de Colombie sont maintenant considérées à haut risque« .
Dans plusieurs pays, les médias ont recommandé aux femmes de retarder leur grossesse.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !