Le tyran vénézuélien Nicolás Maduro a donné une fois de plus un exemple de sa folie des grandeurs et de son manque absolu de respect pour la foi chrétienne en décrétant « l’avancement de Noël au 1er octobre ». L’annonce a été faite dans une émission télévisée au service de son régime tyrannique.
Un despote déséquilibré
« Nous sommes en septembre et ça sent déjà Noël, ça sent Noël. Et c’est pourquoi cette année, en hommage à vous, en remerciement envers vous, je vais décréter l’avancement de Noël au 1er octobre », a lancé le président sous les applaudissements de ses fidèles sujets.
Maduro, à la tête d’un gouvernement incapable de garantir l’approvisionnement en électricité (encore vendredi dernier, 80% des citoyens se sont retrouvés sans électricité), a fait ce qui est habituel en ces occasions : rejeter la faute sur un sabotage organisé à partir de l’extérieur du pays.
«L’attaque criminelle électrique a arrêté l’économie. Ils ne le pouvaient pas. Les gens ont continué à travailler, et, avec le soutien de la classe ouvrière, dans une parfaite union civique-militaire-policière, nous avons garanti une paix absolue », -t-il déclaré.
Maduro a ensuite confirmé son décret :
« Noël commence le 1er octobre. Pour tout le monde, Noël est arrivé, avec paix, bonheur et sécurité ».
Ce n’est pas la première fois qu’il fait une telle chose. En 2020, le dictateur a annoncé le début des festivités de Noël le 15 octobre et l’année suivante il l’a avancé au 4 du même mois, s’estimant être en droit de jouer au maître des horloges.
Joaquim De Alburquerque
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