Le satanisme est une réalité rejetée avec dédain par nos contemporains. Pourtant, le New-York Times révèle qu’en avril 2016, une représentation du Temple de Baal sera installée à Londres et à New-York sous la forme d’un arche qui constituait sa porte d’entrée. A l’origine, cet édifice était un lieu de culte à Palmyre où de nombreux enfants étaient sacrifiés sur les autels tandis que des hommes et des femmes se livraient à des orgies sexuelles. Le but officiel du culte de Baal était d’apporter le bonheur et la prospérité à la cité. En raison de nombreux avortements pratiqués dans le monde sans oublier la reconnaissance officielle d’une sexualité débridée, la volonté d’instaurer ce type d’architecture convient parfaitement à l’esprit du mondialisme. Bénéficiant de l’appui, entre autres, de l’institut de l’archéologie digitale, des universités de Harvard et d’Oxford dans le prolongement de l’Unesco, l’objectif déclaré est de favoriser l’implantation de mille arches partout dans le monde. Le « grappin » selon l’expression du saint curé d’Ars peut, temporairement, se réjouir de la situation.
http://www.nytimes.com/2016/03/20/opinion/sunday/life-among-the-ruins.html?_r=2
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