C’est la douche froide pour Marion Maréchal. Alors que tout semblait indiquer que les négociations étaient très avancées avec Jordan Bardella et sa tante Marine Le Pen, le Rassemblement National vient de faire savoir ce mardi après-midi qu’il refusait une alliance avec Reconquête en vue des prochaines législatives du 30 juin et du 7 juillet.
Visiblement très ébranlée, Marion Maréchal vient de publier un communiqué publié sur X/Twitter dans lequel elle fait part d’ « une grande déception pour la France ».
Incompréhension
« Alors que nous étions sur le point de finaliser un accord (…) Jordan Bardella m’a informée cet après-midi d’un changement de position et du refus du RN du principe même d’un accord », regrette Marion Maréchal qui parle d’une « décision soudaine et contradictoire ».
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

« Au règne du compérage, on nomme les ministres non pas en fonction de compétences dans un domaine donné…
Dans une France démocratique les ministres seraient tirés au sort parmi des volontaires préalablement sélectionnés sur dossier (afin d’écarter les candidatures fantaisistes) par un jury de citoyens lui-même tiré au sort.
« Sans compter que « les législateurs » sont souvent aussi incompétents que ceux qui proposent les lois. »
Dans une France démocratique les projets de loi seraient rédigés par l’Assemblée nationale tournante des législateurs, dont les membres seraient tirés au sort, puis les projets de loi seraient soumis au vote du peuple.
Juste une précision : le chauffeur de la voiture ( SMUR ) est un ambulancier diplôme d’état (qui n’ait pas reconnu en taht que tel) il ne conduit pas un taxi……. Mais un Vehicule Médicalisé Légerou une ambulance de réanimation………..
faut demander un statut de Praticien hospitalier !!
Oui. Sauf qu’il n’y aurait plus de médecins dans les cliniques ; et si ill y avaient ce statut, ils dépendraient de l’Etat tentaculaire. En fait la fin de l’hospitalisation privée ce que veulent lessocialistes et les communistes.
Bonjour,
Merci pour cet article qui éclaircie bien des points.
Je souhaiterais réagir à un commentaire fait au sujet des consultations gratuites. Dans mon passé j’ai pu bénéficier à plusieurs reprises du système de santé britannique NHS basé sur la gratuité des soins (médecins, hôpitaux) avec un part payante pour les médicaments. Ce système n’engendre pas et n’a jamais engendré un surcroît de consultations. et la NHS (réformé par les Travaillistes ) n’est pas à bout de souffle comme notre système de santé français. Preuve qu’ailleurs, ça marche sans occasionner une explosion des dépenses.
Cher Monsieur,
Si vous êtes celui que je connais, je tiens à vous remercier de l’aide que vous nous fournissez à l’ACIM depuis des années. Que le Bon Dieu vous garde.
Je répond à votre question. Je connais très bien le système britannique car j’étais durant cinq années, trois mois chez le Dr Seaton, professeur au Tropical School of Medecine à Liverpool. C’est un grand port international dans lequel arrivaient des personnes atteintes de maladies tropicales. Le matin je l’accompagnais dans les services. Son adjoint était un type charmant du nom de Lavoipierre, descendant d’émigrés sous la révolution « française ». L’un et l’autre l’après-midi avaient leur propre cabinet de consultation en ville. Leur clientèle était privée et ne bénéficiait d’aucune prise en charge par l’Etat. Les clients n’étaient remboursés de rien. Ceci créait effectivement une médecine à deux vitesses : celle des riches qui allaient voir les médecins de ville et celle des gens modestes qui s’adressaient au National Health Service. Mais les Anglais ne sont pas choqués à tout bout de champ par l’inégalité. En France, plus on en parle, plus les « politiques » s’enrichissent. On pourrait l’accepter si ils étaient efficaces ; ce qui n’est pas le cas.
Sentiments amicaux.
Jean-Pierre Dickès