Ils n’en reviennent pas tous nos immigrationnistes de salon : quoi ? comment ? vraiment ? Vous êtes sûrs ?
Eh, bien oui, vous ne cauchemardez pas chers bobos wokistes : c’est bien un président maghrébin qui a déclaré ne pas vouloir que son pays soit « grand-remplacé » par la submersion sub-saharienne ! En un mot comme en cent, par l’invasion des populations noires du continent africain.
Même Jean-Marie Le Pen, aux plus grandes heures de ses provocations prophétiques, n’était jamais allé aussi loin dans la formulation identitaire !
Et en effet, le 21 février, Kais Saied a présidé une réunion du Conseil de sécurité nationale «consacrée aux mesures urgentes qui doivent être prises pour faire face à l’arrivée en Tunisie d’un grand nombre de migrants clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne».
Dénonçant l’arrivée de «hordes des migrants clandestins» dont la présence en Tunisie est selon lui source de «violence, de crimes et d’actes inacceptables», le Président tunisien a appelé les autorités à agir «à tous les niveaux, diplomatiques sécuritaires et militaires» pour faire face à cette immigration et à «une application stricte de la loi sur le statut des étrangers en Tunisie et sur le franchissement illégal des frontières».
Toute la gauche internationale outrée et scandalisée a aussitôt vu dans cette diatribe anti-immigration le soutien aux « thèses complotistes d’un nouveau parti d’extrême tunisien, le Parti National Tunisien« .
Seulement, voilà, ce qui est impensable pour nos bien-pensants, c’est que le président tunisien dénonce lui aussi un complot à travers cette immigration clandestine qui relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie».
Pourquoi ce qui est vrai en Tunisie ne le serait pas en terre de France ?
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