L’entreprise multinationale avorteuse Planned Parenthood Federation (IPPF), en profitant de la déclaration d’urgence sanitaire à cause du virus Zika, décrétée par l’Organisation Mondiale de la Santé, n’a pas cessé de promouvoir ouvertement et publiquement l’avortement chez les femmes infectées par le virus.

Jusqu’à présent, le nombre des cas où les femmes infectées transmettraient à leurs bébés la maladie en causant une microcéphalie (réduction de la taille de la tête par rapport à la normale) reste très faible.

Plusieurs centres de recherche pour le Contrôle de Maladies des États-Unis (CDC) ont affirmé qu’il ne faut pas profiter de la situation car «  il n’y a pas de recherches scientifiques qui confirment un lien étroit entre le virus et la microcéphalie ».

Pour les associations pro-vie Amérique du Sud, l’IPPF continue à investir des énormes sommes d’argent pour promouvoir la dépénalisation de l’avortement en Amérique Latine.

Selon le bilan financier du Planned Parenthood Federation de 2014, cette entreprise a versé plus de 10 million de dollars dans le continent. Presqu’un million de dollars du montant a été distribué au Mexique.

En Colombie, elle a dépensé quasiment 2 million de dollars, alors qu’au Honduras, l’entreprise avorteuse a investi 497 mille dollars. Le Planned Parenthood a dépensé 302 mille dollars au Paraguay afin de dépénaliser l’avortement.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Les commentaires sont fermés

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !