L’OMS part en croisade ! Contre les vaccins, les avortements, les drogues douces et dures, la chimie oppressive qui envahit tout et tous, contre la ‘mal-bouffe’ ?

Que nenni ! L’OMS part dans une guerre ‘sainte’ contre certains produits traditionnels européens, déclarés responsables du diabète, du cancer, des maladies cardio-vasculaires, etc. L’OMS a décidé que d’ici 2030 les morts à cause de ces maladies devront diminuer d’un tiers. Elle veut donc mette au ban des tables les aliments gras et salés, y compris le parmesan, le jambon de Parme, l’huile d’olive, les pâtes, les pizza… Sous peu on risque en allant acheter du parmesan d’avoir droit à la formule consacrée sur les paquets de cigarettes : « Le parmesan nuit gravement à votre santé » ou « Le fromage rend diabétique » avec image répulsive à l’appui.

Voici donc diabolisés par les technocrates de l’OMS ces incontournables de la diète méditerranéenne et de la culture culinaire européenne. Mis sur le même plan que la cigarette, le fast-food, le Coca-Cola… Même pire que le Coca-Cola puisque cette boisson dans sa version light ou zéro est étiquetée du fameux sésame international « vert» qui signifie « à volonté ».

Le ministre italien de l’Agriculture Gian Marco Centinaio a décidé de se battre contre ce parti pris de l’OMS, qui fera les délices du très controversé CETA, l’accord de libre-échange qui lie l’Europe et le Canada, et du futur TAFTA, le traité de libre-échange transatlantique :

« Il y a une volonté de redimensionner les produits italiens. Nous sommes attaqués. Mais notre objectif est celui de faire comprendre au monde que la gastronomie italienne est de qualité. Je ne veux absolument pas faire un pas en arrière. Je ne peux croire que nos produits comme le Gran Padano, le parmesan, le jambon de Parme ou l’huile viennent considérer comme les produits chimiques qui sont souvent vendus dans les supermarchés américains. »

Le directeur du consortium Parmigiano Reggiano, Riccardo Deserti, s’indigne lui-aussi :

« Le parmesan se produit aujourd’hui comme il y a 900 ans. »

« Ses propriétés sont multiples et toutes liées aux qualités intrinsèques du produit : haute digestibilité, calcium en quantité élevée présent sous une forme particulièrement biodisponible, absence d’additifs et de conservateurs, riche en minéraux, goût puissant et plaisant. »

Mais malheureusement les mondialistes de l’OMS ne semblent pas conquis par ces produits traditionnels de notre vieille Europe : ils semblent préférer la ‘mal-bouffe’ de Tricatel dans un monde uniformisé sans saveur, le meilleur des mondes

Francesca de Villasmundo

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