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Le pape en Birmanie et Bengladesh, à la recherche de la “magique ” unité dans la diversité

Quel remède est venu apporté en Birmanie le pape François pour résoudre le problème des réfugiés, des Rohingyas, des conflits ethniques, des crises sociales, pour dispenser de la compassion aux souffrances humaines… ? Le Christ et sa loi, sources de paix ? Oh que non ! Si de nombreux médias bien corrects se sont scandalisés que le pontife romain ait soigneusement évité de prononcer le mot « Rohingyas », aucun n’a été choqué par le fait que le nom du Christ ait été lui-aussi consciencieusement éludé par François dans les différentes rencontres inter-religieuses et diplomatiques. Ce qui ne fut pas la cas pour… Bouddha !

Le Christ est vraiment toujours le grand absent de ces visites pontificales hyper-médiatisées à la différence du thème de l’unité dans la diversité ! C’est la recette magique ” que le pape argentin a décliné sous tous les tons, tant devant les autorités politiques comme Aung San Suu Kyi et les militaires du pays, que devant les moines bouddhistes, les religieux musulmans et les pauvres fidèles catholiques.

« Ce voyage peut être résumé par le mot unité, unité dans la diversité comme le Pape l’a dit lors de la rencontre avec les leaders religieux »

a expliqué le directeur de la salle de presse du Vatican Greg Burke.

Le site officiel de la communication du Vatican  News Va continue ainsi son compte-rendu du voyage pontifical :

« Cette unité dans le travail pour les autres et le bien du pays a aussi été évoquée lors de la première messe du Saint-Père le matin même, et aussi pendant l’échange avec les évêques birmans quelques heures après. « Un jour très important, historique même pour l’Église de Birmanie », a-t-il souligné [Greg Burke]. L’unité dans le travail commun, pour la paix et les droits de l’homme, était aussi au cœur du discours aux moines bouddhistes a ajouté le directeur de la salle de presse du Saint-Siège. »

Mercredi 29 novembre, le pape François a rencontré dans l’après-midi le Conseil Suprême Sangha Maha Nayaka des moines bouddhistes du pays au Centre bouddhique Kaba Aye, dans une salle où trônait un autel surmonté d’un immense bouddha. Avant d‘entrer dans le centre le pape s’était déchaussé selon la tradition bouddhiste précise bien le média vaticanesque.

Il a pontifié sur cette fameuse unité dans la diversité en préconisant un engagement commun pour les valeurs de « justice, de paix et de respect de la dignité fondamentale de chaque être humain », car a-t-il affirmé

« quand nous parlons d’une seule voix en affirmant la valeur pérenne de la justice, de la paix et de la dignité fondamentale de chaque être humain, nous offrons une parole d’espérance. Nous aidons les bouddhistes, les catholiques et toutes les personnes à lutter pour une plus grande harmonie dans leurs communautés. »

Il a continué en témoignant de son

« estime à tous ceux qui au Myanmar vivent selon les traditions religieuses du Bouddhisme. A travers les enseignements du Bouddha, et le témoignage zélé de si nombreux moines et moniales, les gens de cette terre ont été formés aux valeurs de la patience, de la tolérance et du respect de la vie, ainsi qu’à une spiritualité attentive à notre environnement naturel et profondément respectueuse de celui-ci ».

Et a poursuivi sur cette lancée en précisant que « ces valeurs » « dans une véritable culture de la rencontre » « peuvent renforcer nos communautés et aider à répandre la lumière si nécessaire à l’ensemble de la société ».

Mais cette Lumière qui fait sortir l’humanité des ténèbres n’est-ce pas ce Christ Jésus que son Vicaire infidèle prend bien garde de nommer…

Mais Jorge Maria Bergoglio croit en l’union de l’humanité avec tous les faux dieux et sans Dieu véritable. Et pour l’atteindre, « il est nécessaire, déclare-t-il, de dépasser toutes les formes d’incompréhension, d’intolérance, de préjugé et de haine. » Se posant et posant à son auditoire la question : « Comment pouvons-nous le faire ? », il donne une réponse dans laquelle se situe le summum de cette prose scandaleuse et à saveur gnostique. C’est Bouddha qu’il mentionne comme référence de « Sagesse » :

« Les paroles du Bouddha offrent à chacun de nous un guide : « Élimine la colère avec l’absence de colère, vaincs le méchant avec la bonté, défais l’avare avec la générosité, vaincs le menteur avec la vérité » (Dhammapada, XVII, 223). »

Bouddha le guide du pape François ?

Quand certains esprits envoûtés prétendent que le pape François a le soucis des âmes de tels prêches apostats devraient être suffisants pour les sortir de leur aveuglement mondain… En préconisant cette diablerie de l’unité dans la diversité, en considérant Bouddha, une des nombreuses figures du diable, comme guide spirituel, etc., c’est en enfer que ce pape conduit les âmes ignorantes et fragiles !

Francesca de Villasmundo

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