Encore un fois, le pape François a approuvé l’invasion de l’Occident, préconisé l’accueil inconditionnel de toute la misère du monde, à partir d’une lecture biaisée, naturaliste et politique de l’Évangile et de la vertu de charité : l’Église, a-t-il réitéré, « a toujours contemplé dans les migrants l’image du Christ qui a dit : j’étais étranger et vous m’avez reçu ».
Lors de sa rencontre au Vatican, samedi 4 novembre, avec les principaux représentants de la Fédération internationale des universités catholiques (FIUC), le pape François a insisté lourdement sur l’ouverture aux migrants auquel les jeunes doivent être formés. Il intervenait à la fin d’un séminaire organisé à l’Université pontificale Grégorienne autour du thème « Réfugiés et Migrants dans un monde globalisé : responsabilité et réponses des universités ».
Le pontife argentin a donc disserté sur la nécessité « de lancer des itinéraires de formation de la conscience » afin de combattre « les réactions négatives de principe, parfois aussi discriminatoires et xénophobes, que l’accueil des migrants suscite dans les pays d’ancienne tradition chrétienne ».
Selon lui devrait être valorisés plus souvent
« les multiples apports des migrants à la société qui les accueille ». « Afin de donner raison à la mission pastorale envers les migrants et les réfugiés, je vous invite, a-t-il spécifié aux universités, à approfondir les réflexions théologiques sur les migrations comme signe des temps. »
Il espère, a-t-il précisé
« que les universités catholiques adoptent des programmes qui œuvrent à favoriser l’instruction des réfugiés, à différents niveaux, soit à travers la possibilité de cours à distance pour ceux qui vivent dans des camps et dans des centres d’hébergement, soit à travers l’attribution de bourses d’étude qui permettraient leur reclassement ».
Il demande également
« qu’en profitant de l’important réseau académique international, les universités puissent aussi faciliter la reconnaissance des titres et des professions des migrants et des réfugiés, pour leur bénéfice et celui des sociétés qui les accueillent ».
« Je voudrais inviter les universités catholiques, a-t-il conclu, à éduquer leurs étudiants, dont certains deviendront des leaders politiques, des entrepreneurs et des acteurs culturels, à une lecture attentive du phénomène migratoire, dans une perspective de justice, de coresponsabilité globale et de communion dans la diversité culturelle. »
On savait les universités, catholiques ou laïques c’est du pareil au même aujourd’hui, être déjà des lieux où n’a droit de cité que la pensée unique, à quelques exceptions près dues au courage de quelques professeurs et étudiants réellement libres. Il doit y en avoir encore trop pour les bien-pensants…
Allez, en avant toute donc, non pour une formation réelle de l’intelligence, mais pour un formatage total des esprits chez les générations estudiantines… avec la bénédiction du pape François.
Bienvenu dans le monde, -orwellien ou bergoglien, c’est du pareil au même-, qui veut annihiler toute critique de l’idéologie immigrationniste et immigropile chère à l’establishment mondialiste…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !