C’est peu de dire que le Pape François ne cesse d’inquiéter les catholiques fidèles à la doctrine de l’Eglise.
Samedi dernier, le Pape a reçu en audience privée dans sa résidence de Sainte Marthe un transsexuel et sa « fiancée ».
Diego Neria Lejárraga (48 ans) vit en Espagne. Dans le magazine espagnol Hoy, « il » explique avoir grandi dans une famille très croyante et avoir attendu la mort de sa mère pour entamer sa transformation puisque l’individu est un transsexuel. Cet individu née femme a eu recours à des opérations chirurgicales pour se donner l’apparence d’être un homme. Une négation de l’état dans lequel Dieu l’a créé qui n’a pas empêché la personne de vouloir continuer à se rendre à l’église où elle accompagnait autrefois sa mère, ce qui a été mal perçu par d’autres paroissiens.
Le transsexuel a donc écrit au Pape. Celui-ci lui a d’abord téléphoné le 20 décembre puis l’a invité à Rome.
Le transsexuel déclare se considérer comme «un homme en paix» depuis cette entrevue avec le Pape. Les naïfs s’en réjouiront et trouveront qu’il y a là un beau geste d’apaisement venant du pape. On connaît le discours « bisounours » de certains chrétiens progressistes qui n’ont de la foi qu’une conception dévoyée « d’accueil de l’autre ».
Mais la réalité, c’est que cette audience a immédiatement été exploitée par diverses organisations LGBT à travers le monde, notamment par les lobbies LGBT faussement catholiques, comme Dignity USA, qui ont pour objectif de faire pression sur l’Eglise catholique pour bouleverser sa doctrine en matière morale. Cela s’appelle une entreprise de subversion. Et cela entre dans le plan qui consiste à imposer un nouvel ordre sexuel mondial.
Le prochain Synode consacré à la famille abordera-t-il la question transgenre ?
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