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Le Nuremberg des crimes contre l’humanité du Covid-19 s’ouvrira bientôt – 2ème partie

Le Dr. Reiner Fuellmich est un avocat spécialiste de la protection des consommateurs en Allemagne et en Californie et l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Covid. 
Avec ses confrères, il s’est mis en réseau avec des avocats internationaux représentant au moins 60 pays, en vue de plaider dans la plus grande affaire de responsabilité délictuelle de toute l’histoire : le scandale de la fraude du Covid et le crime contre l’humanité qu’elle représente, au sens des tribunaux de Nuremberg.
Dans une vidéo mise en ligne  sur sa chaîne YouTube ainsi que dans une interview audio accordée au site lanceur d’alertes “The Whistheblower”, il s’est présenté et a indiqué les trois grandes questions qui devront être plaidées d’urgence devant la Justice. Ceci faisait l’objet d’un premier article dont celui-ci représente la suite.
 
L’établissement des faits entamé dans la 1ère partie se poursuit ici sur deux pages encore, et il est suivi de leur analyse. 
 
En mars 2020, le Bundestag allemand annonçait une ”situation épidémique d’importance nationale”, l’équivalent allemand d’une pandémie. L’annonce fut suivie du confinement et de la suspension sine die de tous les droits constitutionnels fondamentaux des citoyens,. Tout ceci fut décidé sur la base de l’avis d’une seule et unique personne, en violation du principe universellement accepté de “audiatur et altera pars”, qui consiste à entendre la partie adverse. 
Drosten était, par ailleurs, la même personne dont les pronostics apocalyptiques s’étaient révélés entièrement faux douze ans plus tôt [au sujet de la grippe porcine, entraînant la catastrophe des accidents de vaccination graves] .
“Nous l’avons appris grâce à des révélations “d’initié”, celles d’un ancien membre du parti des Verts devenu lanceur d’alerte, David Sieber”, nous dit Fuellmich. Cela s’est produit le 29 août dernier, lors de la mega-protestation contre le confinement organisée à Berlin à laquelle il se trouvait ainsi que Robert Kennedy Jr, au cours de laquelle tous deux prirent la parole. Sieber avait ensuite été auditionné par la Commission d’enquête sur le Covid.
Sieber était devenu au fil du temps de plus en plus sceptique par rapport à la version officielle des faits propagée par les politiciens et les médias de masse. Il s’était rendu compte qu’un certain nombre de scientifiques très respectés avaient une opinion complètement différente, contraire même aux prédictions alarmistes de Drosten. A savoir que la maladie du Covid ne dépassait pas en gravité la grippe saisonnière et qu’en tout état de cause, la population avait déjà acquis une immunité croisée ou lymphocytaire T contre ce virus prétendument nouveau.  Aucunes mesures spéciales n’étaient donc justifiées. Et encore moins la vaccination.
Certains de ces médecins et scientifiques étaient de grands noms : le professeur John Ioannidis de l’université de Stanford en Californie, spécialiste en statistiques, épidémiologie et santé publique, qui est de surcroît le scientifique le plus cité au monde ; le professeur Michael Levitt, prix Nobel de chimie , biophysicien à l’université de Stanford ; les professeurs allemands Karin Mölling, Sucharit Bhakdi, Knut Wittkowski et Stefan Homburg ; le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde.
Lord Sumption, juge à la Cour suprême britannique de 2012 à 2018, avait conclu lui aussi qu’il n’y avait aucune raison objective de paniquer et que rien ne justifiait d’un point de vue juridique les mesures anti-Covid.
De la même manière, l’ancien président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande avait exprimé, bien que plus prudemment, de sérieux doutes quant à la constitutionnalité de ces mesures. 
Mais la direction du Parti Vert décréta que les messages alarmistes de M. Drosten étaient suffisamment convaincants. David Sieber fut traité de complotiste et même expulsé de son parti qui refusa toutes ses tentatives de dialogue.
 
Après ce nécessaire rappel des faits passés, Dr. Fuellmich s’est proposé d’examiner la situation telle qu’elle se présentait à l’heure actuelle, sous l’angle de la dangerosité réelle virus, de l’inutilité totale des tests PCR pour le dépistage, et d’un confinement basé sur des infections inexistantes :
 
“Nous savons que les systèmes de soins de santé n’ont jamais été en danger d’être submergés par le Covid-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont même menacés de faillite. Le navire-hôpital Comfort, qui avait mouillé à New York au début de la pandémie, n’a jamais accueilli plus d’une vingtaine de patients alors qu’il avait une capacité d’un millier.
Il n’y a jamais eu nulle part aucune surmortalité enregistrée. Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona était équivalente à celle de la grippe saisonnière.
Les photos de Bergame et de New York, qui avaient servi à persuader le monde que la panique était de mise, présentaient à dessein une vision trompeuse de la réalité.

Ensuite, il y avait eu l’incident du document surnommé  « papier alarmiste”. Rédigé par le ministère allemand de l’intérieur et classé top secret, il  avait fuité. Son contenu montrait sans l’ombre d’un doute que la population avait été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias grand public.
Dans des déclarations irresponsables et donnant l’impression qu’il obéissait à un scénario ne souffrant nulle dérogation, M. Wieler, chef du RKI (équivalent du CDC) avait, à maintes reprises, martelé que les mesures anti-Covid devaient être suivies à la lettre par tous sans poser de questions. Il n’avait cessé d’annoncer publiquement que la situation était très grave, menaçante, alors que les chiffres compilés par son propre institut prouvaient exactement le contraire.
Le « papier alarmiste » demandait entre autres que les enfants soient culpabilisés, et je cite :”de la mort pénible et tourmentée que trouveraient leurs parents et grands-parents si les enfants ne se conformaient pas aux prescriptions anti-Covid”. C’est-à-dire s’ils ne se lavaient pas constamment les mains et ne se tenaient pas à l’écart de leurs grands-parents.

Une précision: à Bergame, la grande majorité des décès, 94% pour être exact, s’est avérée être la conséquence, non pas du Covid-19, mais de la décision du gouvernement d’évacuer les patients, probablement atteints du rhume ou de la grippe saisonnière, vers les maisons de retraite afin de faire de la place dans les hôpitaux pour tous les patients atteints du Covid, qui ne sont finalement jamais venus.

Les nouveaux arrivants ont alors contaminé les résidents des maisons de retraite, des personnes âgées au système immunitaire déjà considérablement affaibli, généralement en raison de conditions médicales préexistantes. Sans compter que le vaccin contre la grippe leur avait été administré, les fragilisant encore davantage.

À New York, seul un nombre limité d’hôpitaux ont été débordés.
Mais aussi, c’est que de nombreuses  personnes, âgées ou souffrant de graves problèmes de santé préexistants, qui seraient pour la plupart volontiers restées chez elles pour se rétablir n’eût été la panique, se ruèrent sur les hôpitaux.
Là, beaucoup d’entre elles ont attrapé des infections du fait de leur hospitalisation (infections nosocomiales) ou en résultat de fautes médicales. Comme par exemple d’avoir été mises sous respirateur plutôt que de recevoir de l’oxygène au moyen d’un masque à oxygène.

Pour que les choses soient claires, je me répète : en l’état actuel des choses, oui, le Covid-19 est une maladie dangereuse. Mais la grippe saisonnière l’est aussi. Et bien sûr, le Covid-19, tout comme la grippe, peut parfois causer un état clinique préoccupant chez le malade qui l’attrape et même entraîner sa mort.
Toutefois, comme l’ont montré les autopsies qui ont été réalisées en Allemagne, à Hambourg, notamment par le professeur et médecin légiste Dr.Klaus Püschel, les décès avaient presque toujours pour cause de graves affections préexistantes, et la quasi-totalité des personnes décédées étaient d’un âge très avancé, tout comme en Italie. Ce qui signifie qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.
Dans ce contexte, il faut également mentionner que le RKI (le CDC  allemand) avait initialement recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée sur les défunts, chose pour le moins étrange.

De nombreux rapports fort crédibles existent, selon lesquels des médecins et des hôpitaux dans le monde entier ont été payés pour déclarer les personnes décédées comme mortes du Covid-19, plutôt que d’inscrire la véritable cause du décès sur leur certificat de décès, comme par exemple, crise cardiaque ou blessure par balle.
Sans les autopsies, il n’y aurait jamais eu moyen de savoir que l’écrasante majorité des victimes présumées du Covid-19 étaient, en fait, mortes de maladies complètement différentes. 

L’affirmation selon laquelle le confinement était nécessaire en raison du nombre des cas d’infection au CoV-2 du SRAS et parce que les systèmes de santé étaient débordés, est fausse pour trois raisons. Ceci ressort des auditions que nous avons menées au sein de la Commission d’enquête sur le Covid, et autres données qui nous sont parvenues.

1) Le confinement a été imposé alors que le virus était déjà en perte de vitesse.
2) Il existait déjà une protection contre le virus grâce à l’immunité croisée ou à l’immunité des cellules T (ou immunité lymphocitaire T). Il s’agit de l’immunité acquise par les populations contre les virus corona en circulation dans chaque vague de grippe ou d’influenza.

Celle-ci existe même si, cette fois-ci, une souche légèrement différente du coronavirus était active. En effet, le système immunitaire de l’organisme se souvient de tous les virus qu’il a combattus dans le passé et peut donc reconnaître n’importe laquelle des souches de virus appartenant à la famille des corona, mais si elle est prétendument nouvelle, en raison des similarités qu’elle présente.

C’est d’ailleurs ainsi que le test PCR de dépistage des infections a pu être inventé par le désormais tristement célèbre professeur Drosten.
Début janvier 2020, sur la base de ses connaissances très limitées et sans avoir jamais vu le véritable virus de Wuhan, le Pr. Drosten a mis au point son test PCR, qui était censé détecter une infection au CoV-2 du SRAS. 
Il avait eu vent par les réseaux sociaux qu’il se passait quelque chose du côté de Wuhan et il a commencé à bricoler sur son ordinateur ce qui allait devenir son test PCR pour le corona.
Pour ce faire, il a simplement utilisé un ancien virus du SRAS, en espérant qu’il serait suffisamment similaire à la prétendument nouvelle souche du coronavirus trouvée à Wuhan. Puis, il a envoyé le résultat de son bricolage informatique à la Chine pour qu’elle détermine si les victimes de ce prétendument nouveau coronavirus seraient testées positives. Ce fut le cas.
Ce tour de passe-passe a suffi pour que l’Organisation mondiale de la santé se mette à sonner le tocsin de la pandémie et recommande à la terre entière d’utiliser le test PCR de Drosten pour le dépistage des infections au virus désormais baptisé SARS-CoV-2.

L’opinion et les conseils de Drosten ont été, soulignons-le une fois de plus, la référence unique du gouvernement allemand lorsqu’il s’est agi pour lui d’annoncer le confinement, les règles de distanciation sociale et le port obligatoire du masque.

C’est ainsi que Allemagne est devenue le centre d’une activité de lobbying particulièrement massive de la part de l’industrie pharmaceutique et des géants du numérique. Le “peuple allemand discipliné” étant devenu la référence mondiale, il fallait faire comme faisaient les Allemands si on voulait pouvoir survivre à la pandémie”.

Dans la 3ème Partie de la vidéo enregistrée par Dr. Reiner Fuellmich, et qui fera l’objet d’un prochain article, il décortique les tests PCR sur la base des conclusions de l’enquête menée par la Commission. C’est là la clef de voûte la politique de confinement et de toute l’arnaque du Covid.
Il présente ensuite un résumé des conséquences juridiques de cette escroquerie à l’échelle planétaire et un aperçu de la marche à suivre pour se joindre éventuellement au recours collectif  [Class Action]. Cette section fera l’objet d’un 3ème, voire d’un 4ème article.

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