Le Fonds Monétaire International (FMI) a publié une étude sur l’effet macroéconomique des migrations internationales qui est naturellement un nouveau plaidoyer mondialiste pour intensifier l’immigration de grand remplacement vers le continent européen.
L’étude du FMI prétend faire un exercice de projection des flux migratoires d’ici 2050 et affirme sans rire qu’une hausse massive de l’immigration vers l’Europe serait une opportunité économique. Pour la Haute Finance apatride probablement. Mais pour les Européens de souche, nous nous permettons d’en douter. L’étude du FMI l’avoue d’ailleurs en termes choisis : toute la population « native » ne tirerait pas le même avantage de ce coup de pouce économique, certaines tranches risquant de se retrouver en concurrence avec les nouveaux arrivés et de voir leur situation menacée. Comme c’est joliment dit.
L’étude du FMI rejoint d’autres publications de l’ONU faisant elles-aussi, depuis de nombreuses années, l’apologie d’un grand remplacement de population sur le continent européen. En l’occurrence, le FMI estime que l’Europe et l’Asie centrale devraient accueillir 24 millions d’immigrés supplémentaires en provenance de l’Afrique subsaharienne d’ici 2050.
Sans surprise, l’étude du très mondialiste FMI proclame qu’a contrario, les mesures de contrôles et restrictions de l’immigration auraient tendance à être contre-productives du point de vue économique. Pour les exploiteurs de main d’œuvre payée au rabais, sans doute.
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