Nous avons eu l’humanisme, puis le féminisme. Nous voilà dans la post-féminité. Et, en tant qu’homme, je dois dire que ce n’est pas joli, joli. Jugez plutôt.
La post-féminité, en premier lieu, ça donne ça : les immondices du transformisme sociétaliste, ou Femen, financées par le contribuable français, ou à défaut par Georges Soros, ou d’autres milliardaires gavés. Et, oui, elles ont encore « frappé », quoiqu’à mon avis ce soit plutôt elles, qui sont « frappées », et « frappées » grââve. Après leurs séances de pipi-caca, devant l’ambassade d’Ukraine à Paris, leurs agressions et exhibitions diverses en toute impunité, dans les églises ou sur la place publique, l’une de ces frappadingues du transformisme sociétaliste a rapté la statuette du petit Jésus dans la crèche installée au Vatican, ce Noël 2014.
Avant ça, nous avons eu droit à Conchita Saucisse, le machin transgender qui chante, qui gagne l’eurovision et qui est reçu au Parlement Européen.
On comprend que le reste du monde soit inquiet sur la santé mentale de la civilisation dite « occidentale ». L’Occident, rappelons-le, est l’endroit crépusculaire, où le soleil se couche, opposé à l’Orient, où il se lève.
Avant les Femen et Conchita Saucisse, il y avait aussi Amélie Mauresmo, candidate au poste de capitaine de l’équipe de tennis pour la Coupe Davis (ne pas confondre avec la Coupe des Vices…).
Aaah, ya bon la testostérone, les chaussettes et la sueur de vestiaire…
Et pour finir en beauté, ce petit panorama de la post-féminité, du lourd, du très lourd, un zeste d’art contemporain façon Kebab LGBTE.
Ceci est du L’ardt contemporain !Sur ce, bon appétit ! Il faut se donner du courage pour les fêtes, avant de se mettre au régime pour rentrer dans son maillot de bain cet été.
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