C’est une des caractéristiques typiques du communautarisme : la cooptation. Le lobby homosexuel pratique cette méthode partout où il parvient à placer un pied. On le constate dans les médias, dans les entreprises et dans… les partis politiques.
Le Front National n’y fait pas exception. Le phénomène avait débuté depuis plusieurs années et connaît depuis peu un développement exponentiel surprenant.
C’est maintenant au tour de Julien Odoul de faire son entrée remarquée au Front National. Cet ancien secrétaire général du groupe centriste UDI au Conseil général de Seine-Saint-Denis est aussi à ses heures perdues un mannequin d’un genre particulier. En 2006, il a posé pour la couverture de Têtu, le magazine homosexuel fondé par Pierre Bergé. En 2009, il récidivait pour la une de Gab, magazine homosexuel allemand. Le book photo de Julien Odoul, en ligne jusqu’il y a quelques jours, proposait un lot de photos souvent dénudées, comme l’ont remarqué différents médias.
Julien Odoul semble aussi avoir quelque sympathie pour François Hollande…Pour la petite histoire, en février 2011, Marine Le Pen avait demandé « pour l’honneur et pour la dignité des Français » la démission d’un nouvel ambassadeur de France en Tunisie, Boris Boillon, étiqueté UMP, dont elle brandissait la photo torse nu.
Pour être précis, c’est en septembre 2014 que Julien Odoul a rejoint le cabinet de Marine Le Pen, où il occupe la fonction d’adjoint de Philippe Martel, le chef de cabinet de la présidente du Front National. Ajoutons que c’est Marion Maréchal-Le Pen qui a présenté Julien Odoul à Marine Le Pen.
Sans revenir sur le recrutement de Sébastien Chenu, co-fondateur de Gaylib, ou la couverture de Closer concernant la relation homosexuelle de Floriant Philippot avec un journaliste de la télévision, ou encore le livre évoquant l’homosexualité de Steeve Briois dont le « partenaire » est également un cadre du FN, il y a une longue liste d’autres noms…
Bruno Clavet, tête de liste FN dans le 3ème arrondissement de Paris, aimait poser en slip dans des positions suggestives, comme ce fut révélé par la presse fin 2013. Sur les six hommes que comptait cette liste FN du 3ème arrondissement de Paris, cinq étaient des homosexuels déclarés (dont Jean-François Belmondo, neveu du comédien Jean-Paul Belmondo).
On se souvient aussi de Damien Obrador, autre ami de Marion Le Pen. Ce jeune élu FN de Cabagnac-et-Villagrains (Gironde) avait fièrement marié deux de ses colistiers homosexuels. Lui-même manifestait avec les associations LGBT lors du débat autour de la loi Taubira.
Et ceci n’est qu’un petit aperçu de cet entrisme LGBT au sein du FN.
Notons encore que le même phénomène peut s’observer depuis quelques années au sein d’autres mouvements et partis de droite nationale aux Pays-Bas, en Autriche ou en Angleterre. Au point qu’un mouvement d’origine ouvrière comme l’English Defence League avait développé une section LGBT…
Alors, fruit du hasard ? Ou infiltration et travail de sape ?
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