Mais il est clair que Macron n’a rien compris! Il n’a rien trouvé de mieux pour calmer la colère des pieds noirs que de lancer le fameux « Je vous ai compris » de de Gaulle qui a fait que celui-ci est passé du statut de sauveur de la France qu’il était, à celui de traître, qui lance de grands espoirs pour mieux les trahir.
«Macron trahison!» en chute dans les sondages…
Si on en juge au parcours de la figure du Judas français qu’est Macron, à l’ENA on apprend à défendre les intérêts de la haute finance cosmopolite, les intérêts de l’industrie énergétique américaine (braderie d’Alstom-énergie), les intérêts des grands groupes de presse apatride (SFR à Patrick Drahi), on apprend à s’adresser en Anglais aux affairistes allemands, et on apprend l’histoire de France à travers les lunettes des terroristes assassins du FLN. Ce qui est certain c’est que ni Macron, ni les mondialistes affairistes qui l’entourent n’ont appris l’Histoire de France… la vraie. Mais la vérité intéresse-t-elle des gens formatés pour trahir la France ?
« Selon un sondage OpinionWay publié vendredi, l’ex-conseiller de Hollande à l’Elysée et ex-ministre de l’Economie, [Emmanuel Macron], recule dans les intentions de vote. Une chute esquissée plus tôt dans la semaine. »
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Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées devant le principal accès du meeting organisé au Zénith de Toulon dans le Var par Emmanuel Macron, le 18 février. Une foule très remontée formée notamment à l’appel du Front national, qui scandait : «Macron trahison!».
Macron : «Je vous ai compris !»
L’artisan de la loi Travail a tenté de noyer le poisson à Toulon en s’exclamant: «Donc je le dis aujourd’hui, à chacun et chacune dans vos conditions, dans vos histoires, dans vos traumatismes, parce que je veux être président, je vous ai compris et je vous aime. Parce que la République, elle doit aimer chacun !», en un français moins châtié que son anglais, certes, mais le pauvre homme n’a fait que l’ENA…
S’adressant aux rapatriés d’Algérie et aux anciens combattants et victimes de la guerre (1954-1962), Emmanuel Macron les a appelés à ne pas céder à la haine. Lui qui pourtant les a copieusement couvert de haine: «Cette haine, ce ressentiment que vous pouviez avoir, cette peur et cette frustration, elle a été récupérée, ici dans ces terres, on l’a vu dehors, par des marchands de la haine».
Et d’insister lourdement, lui qui a bien appris sa leçon FLN qui semble être le socle de ce qui s’apprend à l’ENA en matière d’Histoire de France:
«Je ne veux pas revenir sur les haines recuites, mais j’ai en même temps nommé les choses. On ne vous a dit, ou vous n’avez voulu entendre, qu’une partie de la chose», «J’ai dit en effet les responsabilités de la France quant à son passé, pas simplement en Algérie, quant à notre passé colonial». «Et on doit le regarder en face ce passé colonial, et oui, c’est un passé dans lequel il y a des crimes contre l’humain».
Par définition un crime est contre « l’humain… Passons! Certes, il y a eu crimes en Algérie, nombreux et atroces, mais surtout contre la France, contre les Français d’Algérie et contre les harkis dans une bataille où de nombreux soldats Français ont donné leur vie pour la cause nationale, une bataille où l’Armée française à vaincu le terrorisme FLN, victoire volée dans les coulisses de la diplomatie gaullienne aux accords d’indépendance d’Evian. Le mondialiste Macron a ajouté au drame de l’Histoire, vécu par les soldats, harkis et Français d’Algérie, l’insulte et l’ignominie envers toute la nation Française.
Des déclarations qui ont au moins le mérite de faire tomber le masque de ce traître formaté de l’ENA à la banque Rothschild, avant d’atterrir comme conseiller de François Hollande à l’Elysée puis de chasser Montebourg de Bercy pour céder le fleuron de l’industrie française qu’était Alstom-énergie aux Américains qui détiennent grâce à lui un pan important de ce qui faisait avant Macron l’indépendance énergétique de la France. Sans compter qu’à peine huit jours après avoir investi Bercy, il donnait SFR au magnat de la presse qu’est l’Israélo-marocain Patrick Drahi, auquel là encore Montebourg faisait barrage. En échange de bon procédé, Drahi, dont le groupe de presse regroupe la plupart des médias français, a permis à l’inconnu Macron d’émerger subitement par des campagnes de presse sans précédents.
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emiliedefresne@medias-presse.info
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