Le Premier ministre japonais n’a pas l’intention de participer à l’enthousiasme immigrationniste qui sévit parmi les dirigeants politiques de l’Europe de l’Ouest.
Shinzo Abe a notamment déclaré :
« C’est une question de démographie. Je dirais que, avant d’accepter des immigrants ou des réfugiés, nous devons améliorer la vie des femmes, des personnes âgées et nous devons élever notre taux de natalité. Il y a beaucoup de choses que nous devrions faire avant d’accepter des immigrants.«
« Le Japon doit améliorer le niveau de vie de son propre peuple avant d’envisager d’accepter d’accueillir des réfugiés syriens. »
M.G. Shetfall, professeur d’histoire culturelle japonaise moderne à l’université de Shizuoka, précise :
« Soulever publiquement la question de l’immigration de masse – ainsi que les ajustements multiculturels qu’elle imposerait nécessairement dans la vie japonaise – comme solution à la crise démographique imminente, confine au sacrilège… Qu’une figure nationale de premier plan s’y risque équivaudrait à un acte de suicide politique. »
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