La Cour suprême des Etats-Unis, par une décision du 1/6/2021, a décidé de ne pas se saisir de l’appel (ce qui équivaut à son rejet) du groupe pharmaceutique Johnson et Johnson (qui vend l’un des 4 « vaccins » censés combattre le coronavirus qui sont utilisés par l’UE) concernant une affaire où il a déjà été condamné à plusieurs reprises par des cours de justice de niveaux inférieurs.
Ces condamnations font suite à des milliers de plaintes ces dernières années qui accusaient son talc de contenir de l’amiante et de provoquer des cancers des ovaires.
Initialement condamné en 2018 à versé 4,4 milliards de dollars, la somme avait été réduite en 2020 à 2,1 milliards de dollars par une cour d’appel du Missouri car certaines plaignantes n’avaient pas de lien avec le Missouri. Mais, sur le fond, cette cour d’appel avait jugé que Johnson et Johnson avait « sciemment vendu aux consommateurs des produits contenant de l’amiante » et « responsables de cancers ». Elle avait choisi de fixer des dommages et intérêts « punitifs » car c’était nécessaire pour avoir de l’effet dans ce cas.
La Cour Suprême du Missouri, comme celle des Etats-Unis, avait rejeté sans s’en saisir l’appel du groupe contre les jugements le condamnant. Ce n’est pas un déni de justice. C’est tout simplement que les lois et/ou règlements à l’origine des condamnations ne sont manifestement pas contraires ni à la constitution du Missouri, ni à celle des Etats-Unis.
Le groupe nie que sa poudre pour bébés contient de l’amiante mais a néanmoins annoncé en mai 2020 qu’il arrêtait de vendre cette poudre à base de talc aux Etats-Unis et au Canada. Mais il veut continuer à la vendre dans le reste du monde.Â
Parents et utilisateurs, on ne saurait que trop vous conseiller de ne pas en acheter!
Et on voudrait qu’on fasse confiance au « vaccin » de Johnson et Johnson censé lutter contre le coronavirus? Autant jouer à la roulette russe avec sa vie.
Le « vaccin » de Johnson et Johnson est très semblable à celui d’Astra-Zeneca. Quant à Pfizer et Moderna, la technique utilisée (à ARN messager) a été testée beaucoup trop peu pour connaître les effets à moyen et long terme.
Enfin, il faut rappeler que ces 4″vaccins », ainsi que Spoutnik, ont tous été fabriqués ou testés avec des tissus d’embryons avortés.
Il importe donc au plus haut point de ne pas les utiliser.
Que Dieu protège la France.
Gontran PAUME
Photo: Peaceful valley, Missouri
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