Le lobby LGBT s’enthousiasme pour Janine Rostron, une « artiste » anglaise installée à Berlin et promotrice du « gender ».
Considérée pompeuusement comme une « vidéaste expérimentale » et une artiste de musique électro, elle prétend amener le « gender » sur les pistes de danse des boîtes de nuit.
« Je voulais une voix qui n’avait pas de genre défini, ou en créer un nouveau », dit-elle. Dans ses vidéos « freaky », elle apparaît portant une prothèse nasale pour masculiniser son visage.
Elle se considère comme une « artiste transgenre » et demande qu’on ne l’appelle plus Janine mais Jam qui serait plus neutre. « Je cherchais un prénom qui n’ait pas de genre. Parce que je pense que la classification des gens selon leur genre est la première des raisons des discriminations que nous vivons ».
Mais la théorie du genre n’existe pas, n’est-ce pas Najat ?
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