Le Gardasil (ou Cervarix) est un vaccin qu’il est recommandé de faire aux jeunes filles et maintenant aux hommes. Il est censé prévenir les cancers du col de l’utérus. Or le 21 janvier 2020, on trouve mot pour mot dans le Journal of the Royal Society of Medecine qui fait mondialement autorité, la citation suivante :
« Les populations ayant servi d’essai ne reflétaient pas les groupes cibles de vaccination en raison des différences d’âge et des critères d’inclusion des essais restrictifs. L’utilisation de résultats de substitution composites et éloignés rend impossible la détermination des effets sur les résultats cliniquement significatifs. On ne sait toujours pas si la vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) prévient le cancer du col de l’utérus, car les essais n’ont pas été conçus pour détecter ce résultat, qui prend des décennies à se développer. »
Il convient d’expliquer de quoi il s’agit. Ce vaccin est supposé créer des anticorps contre le papillomavirus dit HPV qui se transmet par voie sexuelle. Ce virus induirait les cancers du col de l’utérus chez la femme. Cliniquement il passe inaperçu et est « repiqué » (si on peut dire), par les hommes ; d’où l’intérêt de la décision toute récente d’en faire « profiter » les hommes. Voilà ce que l’on fait croire à la population.
L’extrait du Journal cité plus haut dit purement et simplement que le vaccin n’a nullement été conçu pour éviter l’apparition du cancer du col. Enorme ! Kolossal !
L’argument est fort car il fait dégringoler les campagnes de vaccinations et les mensonges probablement inconscients propagés par la Haute Autorité de Santé de notre pays.
La première considération est de bon sens. Lors de la commercialisation il était strictement impossible d’avoir le recul nécessaire pour pouvoir affirmer que le Gardasil était efficace contre le cancer du col. D’autant que le risque général d’avoir ce cancer est extrêmement variable en fonction de l’âge. Alors pourquoi l’a-t-on commercialisé dans ce but ?
Les femmes sont invitées à faire des frottis de détection de cancer du col. Il existe une lésion appelée adénocarcinome in situ ou intraépithélial. Celle-ci est considérée comme le stade primitif du cancer. Elle peut régresser spontanément. C’est par prudence que cette lésion est enlevée facilement. Le Journal of the Royal Society of Medecine écrit qu’il n’y a pas lieu de faire quoi que ce soit : « no treatment is given ». Il apparaît certain que le vaccin est actif sur cette lésion. Et ensuite ? Rien du tout. Rien ne prouve que cette lésion dégénéra en cancer ; donc a fortiori que le vaccin sera efficace contre le cancer. Nous n’avons aucune donnée dans ce sens. Il y a eu une extrapolation abusive.
Or conjointement, malgré le vaccin, on constate en Grande-Bretagne, une augmentation de 54 % du nombre de cancers du col entre l’âge de 24 et 29 ans. Apparemment les essais étaient « tordus ». De là à dire que le vaccin donne le cancer, il y a un pas que franchit un dénommé Kennedy dans Health Impact news du 5 janvier (https://healthimpactnews.com) Celui-ci dans cette affaire est un lanceur d’alerte.
Un signe ne trompe pas. Julie Gerberding qui dirige la division des vaccins de la Merck’s Vaccine Division vient d’en vendre ses parts. Elle sait en effet que « les essais ont révélé que le Gardasil AUGMENTE dramatiquement de 44,5 % parmi les femmes ayant une infection courante, le risque du cancer du col ; ainsi que celles qui précédemment ont été exposées au HVP (those trials revealed that Gardasil dramatically RAISES (by+44.6%) the risk of cervical cancer [8] among women with a current infection or those previously exposed to HPV.). Les mots soulignés dans cette phrase (8) anglaise renvoient à une colossale étude sur la question.
Il apparaît que « une autre étude de 2019 en Alabama a trouvé que le plus haut taux du cancer du col était dans les comtés où il y avaient le plus lourd taux de vaccination ». Des résultats similaires ont été trouvés dans plusieurs pays : Australie, Espagne, Suède et Norvège. Cela commence à se savoir.
A suite de deux lanceurs d’alerte, des suites judiciaires sont en cours contre Merk. La directrice de cette section du laboratoire en vendant ses parts est dans la situation des rats quittant le bateau selon Kennedy cité plus haut.
Un gigantesque scandale.
Jean-Pierre Dickès
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