Le futur secrétaire général de l’ONU est un partisan fanatique du toujours plus d’immigration. Le socialiste Antonio Guterres, ancien premier ministre portugais (1995-2002), ancien haut-commissaire aux réfugiés des Nations unies (2005-2015) a pris la parole le mardi 22 novembre à Lisbonne, à l’occasion d’un sommet organisé par huit laboratoires d’idée européens. Avec toujours le même refrain.
« La migration n’est pas le problème, mais la solution », a-t-il osé affirmer de façon péremptoire en préambule d’un discours d’une demi-heure.
« Il faut reconnaître que la migration est inévitable et qu’elle ne s’arrêtera pas. »
Et de marteler, « il faut convaincre que la migration est inévitable et que les sociétés multi-ethniques, multiculturelles, multireligieuses qui se construisent sont une richesse ».
Le leitmotiv du mondialisme : le déracinement pour tous.
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