Dans une courte vidéo mise en ligne sur un compte Télégram djihadiste, le 2 août 2016, un jeune musulman est filmé déambulant dans une rue à Verviers, en Belgique, en priant : « Oh Allah, anéantis les chrétiens haïssables. Oh Allah, tue-les tous. N’en épargne aucun. »
Il s’agit du fils de l’imam de Dison, Shayh Alami, sous le coup d’un arrêté d’expulsion. « Depuis quelques heures maintenant, le jeune homme que l’on voit sur cette vidéo a été formellement identifié », a indiqué Muriel Targnion, bourgmestre de Verviers. « Le secrétaire d’État, [Theo Franken], a entrepris au printemps une deuxième tentative pour expulser l’homme du pays. Le prêcheur était allé en appel d’un premier arrêté d’expulsion devant le Conseil du contentieux des étrangers », selon Le Soir.be.
Dans cette vidéo publiée sur un site français, (le site de Memri), on voit ce jeune se promener dans Verviers et appeler, en arabe, au meurtre de tous les chrétiens.
La traduction du texte a été confirmée par un arabophone indique La Meuse : «Ô Allah, anéantis les chrétiens haïssables. Ô Allah, tue-les tous. N’en épargne pas un seul» récite-t-il dans les premières phrases de sa prière musulmane.
« Cette courte vidéo d’un peu plus d’une minute montre le jeune d’une quinzaine d’années qui déambule dans le centre-ville de Verviers, dans les deux rues les plus commerçantes, l’arrière-plan de la vidéo le montre clairement. C’est la nuit et le jeune marche en faisant une incantation en arabe, contre les chrétiens. «
Verviers est une des bases arrières des combattants musulmans. Suite aux attentats de Charlie Hebdo, une opération franco-belge avait été menée dans la ville :
emiliedefresne@medias-presse.info
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st Paul nous a prévenus:
« viendront des temps où les hommes convertiront la charité en luxure »
nous y sommes
avec la bénédiction d’ Imbroglio.
Pauvres âmes…
Je plains peut-être encore plus ce prêtre qui ne sait plus quoi dire pour se justifier.
Quelle pitié !
« L’argutie du prêtre, modérateur paroissial, est une belle démonstration du renversement total […] de l’état de grâce […]. »
Ce n’aurait pas été une argutie de convenir qu’on ignore dans quel état ils sont morts ; le « permitte divis cetera » d’Horace est un maxime éminemment catholique. Mais le prêtre aurait dû s’arrêter là, sans rien dire qui pût être interprêté comme apologie des relations homosexuelles. Requiescant in pace.