Décidément, les accusations de fraudes sur l’élection présidentielle du 3 novembre ne retombent pas.

Un agent du FBI de Los Angeles a demandé à Matt BRAYNARD d’apporter les données recueillies au sujet de l’élection par le “Projet Amistad” qui dépend de la société Thomas More, pour être utilisées dans le cadre des procès engagés pour défendre l’intégrité des élections, c’est-à-dire qui demande que soient étudiés avec attention les témoignages avec serment sur les irrégularités et fraudes constatées.

Matt BRAYNARD dirige le “Voter integrity project” (projet pour l’intégrité du vote).

Le site “Hereistheevidence.com” considère actuellement que 75 types d’irrégularités dans le processus électoral sont fortement admissibles devant les tribunaux: 2 concernent la législation électorale, dont une qui concerne la décision du sécrétaire d’Etat de la Pennsylvanie de reporter la date limite pour que les électeurs apportent la preuve de leur identité, décision dont la légalité est contestée, 38 concernent des votes illégaux (votes par correspondance émis par des morts, des étrangers, des électeurs n’ayant pas de véritable adresse dans l’Etat ou arrivés après la date et l’heure limite légale pour pouvoir être pris en compte), 22 le déroulement des opérations dans les bureaux de vote (avec 50 à 60 observateurs républicains empêchés d’entrer dans les centres de dépouillement ou obligés de rester trop loin (à 1m 80) des tables où les votes étaient comptés pour pouvoir contrôler ce comptage), 12 les machines à compter les votes (bulletins en faveur de Biden scannés deux fois, piratage informatique de ces machines) et enfin une irrégularité d’ordre général sur la vérification des bulletins au Minnesota.

Les plus importantes concernent 138 444 votes émis par des électeurs d’un des “swing states” (Etats où les résultats sont serrés) ayant une résidence dans un autre Etat, 40 000 votes par correspondance émis par des morts en Pennsylvanie (l’écart officiel dans cet Etat n’est que de 81 638 voix: 3 378 360 contre 3 459 998) et 9 500 au Michigan (l’écart officiel est de 154 188 voix) 353 comtés appartenant à 29 Etats qui ont un nombre d’électeurs inscrits supérieur au nombre d’habitants ayant la nationalité des Etats-Unis et ayant l’âge de voter (il y avait en tout 3142 comtés ou équivalent en 2018 sur l’ensemble des Etats-Unis). A noter qu’en Louisiane, les comtés s’appellent “Paroisses”.

Des menaces sur des membres de commissions électorales de comtés ont fait l’objet de plaintes en justice au Michigan (comté de Wayne). Ces menaces visaient à leur faire certifier des résultats alors qu’ils ne le voulaient pas. Des données informatiques fort improbables ont été par ailleurs constatées. Par exemple, au Michigan, une augmentation de 138 339 voix pour Biden pendant que Trump n’en avait aucune en plus. Une perte de 1000 voix pour Trump dans le comté de Fulton (banlieue d’Atlanta en Georgie) pendant le dépouillement alors que le nombre de ces voix ne peut qu’augmenter au fur et à mesure du dépouillement.

Il est possible que la Cour Suprême ait à se prononcer sur un ou plusieurs de ces procès avant la réunion des 538 électeurs (qui ne sont pas encore tous nommés) le 14 décembre 2020.

Que Dieu protège l’Amérique.

Gontran PAUME

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