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Le « droit » d’avorter jusqu’au terme de la grossesse ?

Pyrogravure pro-vie colorée.
Quand il s’agit de légaliser l’impensable, l’État trouve toujours un prétexte, soi-disant dans « l’intérêt de la femme » (et l’enfant alors ? Il existe aussi !) pour parvenir à ses fins. Décidément, le malin porte bien son nom.
Si elles se trouvent dans une « détresse psychosociale », les mamans pourront désormais tuer leur enfant jusqu’au terme de la grossesse. Le constat est simple, l’angoisse pouvant être assimilée à une multitude de causes, est-ce qu’une prise de tête anodine avec le papa pourra conduire à un meurtre légal ? La caricature est volontaire, car il serait naïf de croire que cette loi s’appliquera sur le long  terme uniquement dans le cas d’une insurmontable pression (qui d’ailleurs, ne pourra jamais justifier le droit de vie ou de mort sur l’enfant à naître, quel que soit le motif). On voit aujourd’hui l’ampleur de la culture de mort en France, le contexte d’avortement qui était mis en avant au début de sa légalisation est aujourd’hui presque devenu un mode de contraception banalisé, voire une décision qui s’impose comme une évidence pour un bon nombre de couples.
Comment peut-on tuer son propre bébé, que l’on a vu à travers des échographies et senti grandir en soi durant des mois ? La morale est le baromètre d’une civilisation, aujourd’hui, que reste t-il d’un peuple en phase de devenir ouvertement eugéniste… ?
Caleana major

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