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Le diocèse de Metz accueille le vice contre nature et les mutilations sexuelles

Le diocèse de Metz organise le 21 janvier prochain une journée de formation intitulée Accueillir nos proches homosexuels et transgenres. L’événement est annoncé sur le site du diocèse, dans la rubrique Pastorale des familles, ce qui en dit long.

Cette journée de formation ou de discussion ou de… travaux pratiques (on ne sait pas trop) sera animée par un certain Bernard Massarini, prêtre paraît-il. Le père Massarini est l’auteur d’un livre dont le titre fait rêver : Homosexuels et transgenres en Église, Une éthique repensée.

J’aime bien cette expression, en Église. Avez-vous remarqué que les novateurs se signalent toujours par un langage bizarre ? Parler français comme tout le monde, ça ne leur convient pas. Leur langage est à l’image de leurs amours.

J’aime bien aussi l’éthique. C’est tellement mieux que la morale. En plus, le père Massarini vous repense l’éthique, s’il vous plaît. Cette seule expression suffit à une personne saine d’esprit pour se faire une opinion définitive sur ce livre et sur son auteur. Il est évident que ce livre est bon à mettre au feu.

Si l’on en croit une note de lecture qu’on peut consulter ici, le père Massarini conclut son ouvrage par une proposition pastorale innovante, inspirée de l’église épiscopalienne, celle de bénir des maisonnées d’alliance. L’église épiscopalienne… Des maisonnées d’alliance… Seigneur Jésus, qu’est-ce que c’est que ça ?

Mais on ne voit que trop bien où le père Massarini veut en venir avec ses maisonnées d’alliance. Il s’agit d’autoriser des simulacres de mariages, non plus seulement à la mairie mais aussi à l’église, entre personnes du même sexe. Voilà ce que signifie, en fin de compte, « l’accueil » des personnes homosexuelles et transgenres. Pour faire plaisir à une poignée d’activistes, il faut faire la révolution dans l’Église et dans la société.

S’il plaît à Dieu, un jour prochain, de donner à la France un gouvernement, on ne permettra plus au père Massarini et à ses semblables de répandre leur poison dans les esprits. Quant aux médecins et aux chirurgiens (1) qui s’enrichissent en mutilant des jeunes gens à qui on fait croire qu’il est possible et souhaitable de changer de sexe, on ne leur permettra certainement pas de continuer leur horrible besogne. 

Jules Putois

(1) Un ami sociologue me dit qu’il y aurait une étude à faire sur les noms de famille portés par ces charcuteurs. L’idée est intéressante.

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