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Le covid a disparu…

ImageCertains esprits caustiques proposent de décerner le prix Nobel de médecine à Vladimir Poutine pour avoir réussi en deux jours à faire disparaitre le méchant covid des radars médiatiques et lui avoir intimé l’ordre d’arrêter de contaminer les gens.

Trêve de plaisanterie, s’il fallait une preuve que la pandémie covidienne qui a tenu confinée, apeurée, masquée, poussé à se faire injecter des sérums géniques, une bonne partie de la population mondiale, n’est qu’une vaste farce, la crise ukrainienne est toute trouvée. En quelques jours, le narratif médiatique covidien, la liste des décès, puis des cas, puis des nombres de contaminations, d’hospitalisations, a laissé la place au narratif médiatique sur la guerre en Ukrainienne, mettant aux prises le méchant Poutine face à la gentille Union Européenne et à l’humaniste OTAN…

Même contrôle du récit, même journalistes occidentaux serviles sans aucun esprit critique, mêmes images de guerre trafiquées, manipulées, sorties des tiroirs des rédactions où elles croupissaient depuis la dernière offensive du camp de Bien contre le camp du mal, jamais bien vieille il faut dire…

Pourtant si le covid s’est évanoui soudainement, l’urgence covid perdure à travers le passe vaccinal toujours en vigueur en France, en Italie, et quelques autres pays gouvernés par les jeunots de Schwab, la suspension des soignants non-vaccinés, le trafic d’influence des laboratoires, les effets secondaires des injections qui ne se dérobent pas malgré la guerre en Ukraine, la dictature sanitaire au Canada, la folie covidienne en Australie, en Nouvelle-Zélande où le vent semble cependant tourné contre la psychopathe hygiéniste Jacinda Arden après qu’une Haute Cour a statué que son obligation vaccinale représentait une « violation flagrante des droits de l’homme » pour les Néo-Zélandais, etc.

Les études témoignant de la nocivité des vaccins continuent d‘être publiées, le professeur Raoult se fait d’ailleurs l’écho de l’une d’entre elle qui met en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques, posant la question de leur intégration dans le génome.

Mais les médias sont passés à autre chose, et ainsi détournent l’attention du scandale covidien qui émerge à petits pas mais surement pour juger la gestion calamiteuse et dictatoriale des petits tyrans empressés de mettre en place l’Agenda de Davos avec l’aide des journalistes du système, leur courroie de transmission.

Francesca de Villasmundo

                                               

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