Le temps covidien est propice à la convergence des luttes anti-catholique, écologique, lgbtqi+, technologique, malthusienne, eugéniste, scientiste, panthéiste, syncrétiste…, il est un facteur accélérateur de la triple révolution arc-en-ciel mondiale, totale et totalitaire. De cette révolution polymorphe et spirituelle, qui est en marche au sein même de la Rome néo-moderniste et néo-protestante devenue au cours des années conciliaires une âpre militante de l’idéologie mondialiste. Un futur colloque qui se déroulera du 6 au 8 mai témoigne de cette collaboration apostate entre le pontificat bergoglien et les élites mondialistes.
« Du 6 au 8 mai, relate Vatican News, le Conseil pontifical de la culture et la Fondation Cura organisent un webinaire spécial pour explorer les points communs entre la religion et la spiritualité en matière de santé et de bien-être, tout en examinant la relation entre l’esprit, le corps et l’âme. Un message du Pape est attendu au terme de ce colloque virtuel de trois jours. » Cette 5e conférence internationale intitulée En explorant l’esprit, le corps et l’âme. Comment l’innovation et les nouveaux systèmes de distribution améliorent la santé humaine « réunira des médecins, des scientifiques, des chefs religieux, des défenseurs des droits des malades, des décideurs politiques, des philanthropes et autres personnalités publiques pour discuter des dernières découvertes en matière de médecine, de soins de santé et de prévention, ainsi que de la signification anthropologique et de l’impact culturel des avancées technologiques ».
Le site d’information du Saint-Siège souligne qu’ « un débat sur les relations entre foi et science afin d’explorer les points communs entre la religion et la spiritualité en relation avec la santé et le bien-être, tout en examinant la relation entre l’esprit, le corps et l’âme » est également prévu. « La discussion portera également sur le sens profond de l’existence humaine et cherchera des domaines de convergence entre les sciences humaines et les sciences naturelles. »
« À l’issue de la conférence, conclut Vatican News, le Pape François adressera un message vidéo aux participants. L’invitation est lancée aux prêtres, aux agents pastoraux des services de santé ainsi qu’aux étudiants des universités pontificales et catholiques du monde entier. »
Si sur le papier cela peut paraître un tout petit peu catholique, dans la réalité c’est tout, sauf catholique. Il suffit pour s’en convaincre de brosser le portrait des nombreux intervenants, un panel à faire pâlir d’envie les plus corrosives réunions mondialistes et arc-en-ciel. La recension qui en est faite par le site américain d‘information Lifesitenews en donne un aperçu saisissant :
« Le Vatican a annoncé sa cinquième Conférence internationale sur la santé sur Explorer l’esprit, le corps et l’âme et accueillera de nombreux orateurs mondialistes et promouvant l’avortement tels que Chelsea Clinton, les PDG de Pfizer et Moderna, le directeur des National Institutes of Health des États-Unis, et le Dr Anthony Fauci.
(…)
Un nombre incroyable de 114 orateurs participera à l’événement, qui est organisé par le Conseil Pontifical pour la Culture, la Fondation Cura, la Fondation Science et Foi (STOQ) et Stem For Life (SFLF).
Les orateurs comprennent des noms éminents et divers tels que les PDG de Pfizer et Moderna, dont le premier produit des pilules abortives ; le directeur de l’Institut national de la santé (NIH) Francis Collins, qui préconise l’utilisation du tissu fœtal dans les projets de recherche ; le directeur de Google Health, David Feinberg ; et le Dr Anthony Fauci de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, dont les conseils aux représentants du gouvernement ont joué un rôle majeur dans la fermeture des églises américaines l’année dernière.
Le directeur du NIH, Francis Collins, a un long passé de promotion des politiques anti-vie et a déjà salué les ‘’avantages scientifiques‘’ qui découlent de la recherche sur les tissus fœtaux, affirmant qu’un tel travail pourrait être mené ‘’avec un cadre éthique‘’.
Il est rejoint à la conférence du Vatican par le PDG de Salesforce, Marc Benioff, qui s’est fermement aligné sur l’élite mondialiste et libérale, en interdisant les courriels des républicains et de la campagne Trump à la suite des manifestations du 6 janvier au Capitole, ainsi qu’en interdisant à tous ses clients de remettre en question l’élection américaine de 2020. Benioff a une histoire de promotion des questions LGBT, et est décrit par Time comme ‘’l’un des dirigeants les plus résolus‘’ pour les droits LGBT.
La représentante des Nations Unies et écologiste Jane Goodall, qui soutient le contrôle de la population, prendra également la parole à la conférence ; l’activiste du nouvel âge Deepak Chopra ; le guitariste de rock Joe Perry ; William K. Jackson, aîné mormon ; Shaykh Dr. Asim Yusuf, président exécutif du British Board of Scholars and Imams ; Cindy Crawford, mannequin pro-avortement ; et l’ex-préfet du Secrétariat à la Communication en disgrâce, Monseigneur Dario Viganò.
Parmi les multiples orateurs, on trouve également de nombreux autres professionnels de la santé, des représentants d’agences fédérales américaines, des professeurs d’université, des hauts responsables d’entreprises et des musiciens. Il n’y a que deux membres du clergé catholique parmi les 114 conférenciers.
Se déroulant dans la Cité du Vatican, l’événement est promu avec les médias sociaux grâce aux liens #UniteToPrevent et #UniteToCure.
L’image faisant la promotion de la conférence semble être basée sur la célèbre représentation de la création d’Adam par Michel-Ange. Dans la nouvelle image, deux mains se tendent l’une vers l’autre, les deux mains couvertes par des gants jetables.
Par ailleurs, le logo de la conférence est un cercle de personnes reliant les mains, coloré dans les tons du drapeau arc-en-ciel LGBT, et positionné à côté des clés croisées surmontées de la tiare pontificale.
L’événement est promu par le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical pour la culture, avec le secrétaire général de la STOQ Monseigneur Tomasz Trafny, et Robin L. Smith, qui est le fondateur, président et directeur de la Fondation Cura et Tige pour la vie (Stem for Life qui soutient la recherche et l’utilisation de la thérapie cellulaire, ndlr de MPI), et vice-président et directeur de STOQ.
Cependant, le trio ne modérera pas l’événement, car ce rôle reviendra à dix ‘’journalistes de renommée mondiale‘’, tels que la vice-présidente exécutive de Forbes Moira Forbes, Katie Couric, et des journalistes de grandes entreprises médiatiques de gauche telles que CBS, CNN, MSNBC et le Wall Street Journal.
Peut-être en rapport avec la récente déclaration des difficultés financières du Vatican, la conférence est soutenue par de nombreuses grandes organisations telles que Sanford Health, Akkad Holdings, la Fondation John Templeton, la société de vaccins Moderna et l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours.
Le premier objectif déclaré de la conférence est de favoriser un ‘’dialogue ouvert‘’ et de favoriser ‘’une approche interdisciplinaire pour relever les principaux défis de la santé dans le monde‘’.
Un autre objectif est ‘’d’examiner l’interaction entre l’esprit, le corps et l’âme et de discuter de ce que signifie être humain, et comment les technologies médicales transformatrices soulèvent de nouveaux défis autour de l’amélioration humaine et de l’interprétation de l’esprit, du corps et de l’âme‘’.
Compte tenu de la faible présence du clergé catholique à la conférence et de la modération des journalistes laïques, il reste à voir si cet objectif fera référence à l’enseignement catholique sur la relation entre l’homme et Dieu, et s’il ignorera la pensée théologique et philosophique catholique concernant l’âme.
La récente encyclique environnementale du Pape François, Laudato Si, est un thème directeur de la conférence de trois jours.
Citant le document, la conférence vise à ‘’faciliter une conversation… sur la façon dont nous façonnons l’avenir de notre planète (…) qui inclut tout le monde, puisque le défi environnemental que nous subissons, et ses racines humaines, concerne et affecte tout le monde‘’.
(…)
La journée d’ouverture de la conférence sera dirigée par une intervention du Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et conseiller en chef en matière de Santé du président Joe Biden, qui a récemment assuré l’Organisation mondiale de la santé de l’engagement du régime Biden au financement de l’avortement, et a suggéré l’année dernière que les relations sexuelles avec des inconnus étaient plus sûres que de recevoir la Sainte Communion pendant l’épidémie de covid.
Fauci a passé plus d’un an à attiser la peur du public américain à propos du coronavirus de Wuhan, bien qu’il n’ait qu’un taux de mortalité par infection de 0,15% et qu’il puisse être traité efficacement à l’aide d’ivermectine, d’hydroxychloroquine, de vitamine D et de zinc.
Les sujets de la conférence vont de ‘’Sommes-nous ce que nous mangeons?‘’ et ‘’Amélioration humaine‘’, ‘’Vivre sainement jusqu’à 120 ans et au-delà‘’ et ‘’Soins de santé durables : protéger notre environnement‘’.
Seuls six des sujets sont liés à la religion et traitent de thèmes tels que ‘’Pratiques diététiques religieuses et santé‘’ et ‘’Comment définissez-vous l’âme?‘’.
La conférence abordera également les questions liées à la domination actuelle des affaires mondiales par les réponses gouvernementales au covid-19.
Aidé par la présence des PDG de Pfizer et de Moderna, dont les vaccins faits à partir de cellules de fœtus avortés sont de plus en plus suivis de milliers de décès et d’effets secondaires graves, la conférence discutera de la ‘’révolution‘’ de la thérapie cellulaire, ainsi que de ‘’Solutions globales au covid-19‘’et de ‘‘Une nouvelle génération de vaccins‘’.
Le pape François clôturera l’événement par une ‘’audience‘’ privée et virtuelle avec les participants.
La première conférence de ce type avait eu lieu en 2011, des événements antérieurs ont vu des personnes telles que la pop star pro-LGBT Katy Perry s’adresser aux participants sur le sujet de la méditation transcendantale.
Si l’on pouvait espérer, grâce à la privation de rencontres humaines, un minimum d’arrêt aux multiples dérives doctrinales, liturgiques, disciplinaires, sacramentelles, convergeant vers une religion syncrétiste et mondialiste, ayant cours depuis Vatican II et dictées actuellement de la Maison Sainte Marthe, l’espoir fut vain.
Bien au contraire : tant la pandémie de covid-19, « instrument de gouvernance » mondiale par la peur et « le maintien en sidération des populations », est une « aubaine » pour l’hyper-classe mondiale qui voit ses finances virtuelles et boursières, sonnantes et trébuchantes, se multiplier démesurément, ses intérêts « fructifier » et ses « privilèges » se maintenir, tant elle est une conjoncture favorable à l’accélération, au sein du Vatican bergoglien, de la révolution arc-en-ciel, cette révolution mondiale, sociétale, politique et spirituelle, qui signe la fin de l’homme blanc, la fin d’une lignée, d’une civilisation, d’une façon de vivre, révolution en marche, soutenue et promue par cette même oligarchie mondialiste. Le temps covidien, c’est la convergence des luttes anti-catholique et mondialiste avec la bénédiction bergoglienne.
Le temps covidien est propice à la convergence des luttes anti-catholique, écologique, lgbtqi+, technologique, malthusienne, eugéniste, scientiste, panthéiste, syncrétiste…, il est un facteur accélérateur de la triple révolution arc-en-ciel mondiale, totale et totalitaire. De cette révolution polymorphe et spirituelle, qui est en marche au sein même de la Rome néo-moderniste et néo-protestante devenue au cours des années conciliaires une âpre militante de l’idéologie mondialiste. Un futur colloque qui se déroulera du 6 au 8 mai témoigne de cette collaboration apostate entre le pontificat bergoglien et les élites mondialistes.
« Du 6 au 8 mai, relate Vatican News, le Conseil pontifical de la culture et la Fondation Cura organisent un webinaire spécial pour explorer les points communs entre la religion et la spiritualité en matière de santé et de bien-être, tout en examinant la relation entre l’esprit, le corps et l’âme. Un message du Pape est attendu au terme de ce colloque virtuel de trois jours. » Cette 5e conférence internationale intitulée En explorant l’esprit, le corps et l’âme. Comment l’innovation et les nouveaux systèmes de distribution améliorent la santé humaine « réunira des médecins, des scientifiques, des chefs religieux, des défenseurs des droits des malades, des décideurs politiques, des philanthropes et autres personnalités publiques pour discuter des dernières découvertes en matière de médecine, de soins de santé et de prévention, ainsi que de la signification anthropologique et de l’impact culturel des avancées technologiques ».
Le site d’information du Saint-Siège souligne qu’ « un débat sur les relations entre foi et science afin d’explorer les points communs entre la religion et la spiritualité en relation avec la santé et le bien-être, tout en examinant la relation entre l’esprit, le corps et l’âme » est également prévu. « La discussion portera également sur le sens profond de l’existence humaine et cherchera des domaines de convergence entre les sciences humaines et les sciences naturelles. »
« À l’issue de la conférence, conclut Vatican News, le Pape François adressera un message vidéo aux participants. L’invitation est lancée aux prêtres, aux agents pastoraux des services de santé ainsi qu’aux étudiants des universités pontificales et catholiques du monde entier. »
Si sur le papier cela peut paraître un tout petit peu catholique, dans la réalité c’est tout, sauf catholique. Il suffit pour s’en convaincre de brosser le portrait des nombreux intervenants, un panel à faire pâlir d’envie les plus corrosives réunions mondialistes et arc-en-ciel. La recension qui en est faite par le site américain d‘information Lifesitenews en donne un aperçu saisissant :
Si l’on pouvait espérer, grâce à la privation de rencontres humaines, un minimum d’arrêt aux multiples dérives doctrinales, liturgiques, disciplinaires, sacramentelles, convergeant vers une religion syncrétiste et mondialiste, ayant cours depuis Vatican II et dictées actuellement de la Maison Sainte Marthe, l’espoir fut vain.
Bien au contraire : tant la pandémie de covid-19, « instrument de gouvernance » mondiale par la peur et « le maintien en sidération des populations », est une « aubaine » pour l’hyper-classe mondiale qui voit ses finances virtuelles et boursières, sonnantes et trébuchantes, se multiplier démesurément, ses intérêts « fructifier » et ses « privilèges » se maintenir, tant elle est une conjoncture favorable à l’accélération, au sein du Vatican bergoglien, de la révolution arc-en-ciel, cette révolution mondiale, sociétale, politique et spirituelle, qui signe la fin de l’homme blanc, la fin d’une lignée, d’une civilisation, d’une façon de vivre, révolution en marche, soutenue et promue par cette même oligarchie mondialiste. Le temps covidien, c’est la convergence des luttes anti-catholique et mondialiste avec la bénédiction bergoglienne.
Francesca de Villasmundo
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