Voici le communiqué du chanteur nationaliste Goldofaf :

Nous étions cinq amis (dont mon frère) à la terrasse d’un café dans le XVe arrondissement de Paris, quand à 23 h 30, une bande de cinq individus sont arrivés par derrière et très violemment ont gazé notre groupe. Nous nous sommes retrouvés dans un nuage de gaz lacrymo et ils ont frappé de toutes leur force trois d’entre nous. L’agression a duré trois secondes, nous n’avons rien pu faire pour éviter les coups. Ils sont ensuite partis en courrant, nous les avons suivi. Mon frère et moi même avons réussi à en choper un de l’autre côté du boulevard, il est tombé au sol neutralisé mais la bande de racailles est revenue pour le défendre armée de matraques, ils ont réussi à s’échapper.

Je suis ensuite revenu à la terrasse et c’est à ce moment que j’ai réalisé l’ampleur de ma blessure. D’après les témoins et les ambulanciers, j’aurai reçu un coup de marteau qui m’a ouvert le crâne sur 7cm. J’ai perdu beaucoup de sang.Je suis allé à l’hôpital pour la pose d’agraphes.

Un de mes amis à reçu trois coups de matraques dans le dos, à l’épaule et à la tête. Un autre à reçu des coups aux poignets .

Nous nous sommes fait agresser, la veille du pèlerinage de Chartres dans ce quartier connu pour être fréquenté par la droite nationale. Une bannière et un drapeau étaient rangés derrière nous, ce qui a probablement attiré l’oeil de la vermine antifa qui n’ont rien d’autre à faire de leur vie.

Trois jours après l’agression, je vais bien mais je suis encore un peu sonné. J’ai tout de même pu rejoindre le pèlerinage de Chartres et marché toute la journée du dimanche. J’ai retrouvé aussi mes trois enfants, mon épouse qui est enceinte bien contente de me retrouver vivant.

Il faut être sûr de la façon dont ils ont frappé : de sang froid, dans le dos, sans prévenir, avec un marteau était une tentative d’assassinat.

C’est la troisième fois que j’ai à faire aux antifas.

La 1ère fois était une agression ressemblante à celle ci. À l’issue du tournage du clip « le rêve parisien » au Local de Serge en me dirigeant vers le métro avec le caméraman alors que nous étions chargés d’ordinateurs et de matériel. Trois antifas nous avaient frappé lâchement par derrière avec des ceintures avant de s’enfuir en courant également.

Et la deuxième fois, ils étaient venus à dix pour chercher la bagarre alors que nous n’étions que trois (devant le bar « le carré parisien ») ce jour là, Clément Meric était présent, c’était quelques semaines avant son décès. Quand nous sommes sortis du bar pour nous expliquer, ils se sont enfuis. (Veridique).

Le groupe Antifa est vraiment un groupe sans conviction, sans honneur et sans courage. Si vous avez des informations sur l’identitée des membres actifs de ce groupe en région parisienne si vous avez des accès à leurs forums, n »hesitez pas à enquêter, je payerai cher pour connaître le nom des agresseurs qui ont voulu me tuer.
Merci encore pour votre soutien.

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