Prêtre en 1957, puis évêque en 1977 et enfin cardinal en 1983, il coopéra pleinement à la révolution conciliaire dans l’Église ; moderniste notable, il se fit remarquer en son temps pour ses prises de positions ultra-progressistes et libérales en matière de sexualité et d’homosexualité, concernant le rôle de la femme et l‘organisation de l’institution ecclésiastique.
Membre de la sinistre mafia de Saint Gall, il s’enorgueillissait d’ « avoir fait le pape » François.
La fin de sa vie de prélat « ouvert sur le monde » sera marquée par des affaires de violences sexuelles commis présument par son clergé et qu’il aurait couvert. Triste fin pour un triste sire qui a collaboré à « l’auto-destruction » de l’Église.
RIP.
Francesca de Villasmundo
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