« Le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande »
N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique.
Pas de nation libre sans sa monnaie propre, évidemment.
L’espoir de la retrouver prochainement n’a rien de naïf, même si aucun gros parti ne le défend désormais.
Un peu d’histoire :
Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).
Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.
Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec l’inscription circulaire « Iohannes Dei gratia Francorum Rex » (« Jean, par la grâce de Dieu, Roi des Francs »).
Au dos, on lit sur le pourtour « XPC VINCIT • XPC REGNAT • XPC INPERAT », vieille acclamation carolingienne signifiant « le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande ».
Ça a plus de gueule que les monnaies républicaines, non ?
Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de la première inscription circulaire.
Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :
« Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».
Nous sommes bien loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…
Fabien Laurent
Source : L’héritage
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Pourquoi arrêter ce trafic puisque certaines des plus hautes autorités de l’état suivez mon regard sniffe de la coke ou autre chose. Ils ne vont pas scier la branche sur laquelleils sont assis. Ce serait simple la légion étrangère dans tous ces beaux quartiers avec ordre de nettoyer comme il faut mais pour ça il faut en avoir entre les jambes et ce n’est pas le vieux Barnier entouré d’une clique de macronistes à moitié invertis et de LR cacochymes à genous devant la bien pensance de gauche qui vont faire quoi que ce soit. On n’est pas au Salvador, on n’a pas un président qui pacifie son pays bien au contraire on a une marionette qui fait ainsi font font
Le problème est le suivant: on fait croire qu’il existe des drogues douces et des drogues dures, or le processus d’avachissement et d’ahurissement est le même. Ici le rôle des parents est primordial avec un objectif réalisable au vu de la complicité des pouvoirs publics: boycotter les dealers, leur mener une guerre économique.
Plutôt éliminer physiquement trafiquants et consommateurs : sans consommateur, pas de trafiquant. Non ?
Préparez vous à tuer des millions de personnes alors…