La théorie du genre veut nous faire croire que les filles sont virtuellement des garçons et inversement. D’où cette soi-disant égalité entre les hommes et les femmes qui est infirmée par l’anatomie, la physiologie, la biologie, le caractère. Les deux sexes sont complémentaires et nullement égaux comme voudrait nous le faire croire Najat Belkacem. En tant que ministre de « l’Éducation nationale » elle serait bien inspirée de prendre connaissance de l’enquête diligentée par l’Institut de Veille sanitaire. Celle-ci s’intéresse aux accidents pouvant arriver aux enfants de quatre à six ans ; elle a concerné 22.000 d’entre eux, les lieux où ils arrivent, et leurs causes. Elle a été effectuée dans 4413 écoles.
Sans entrer dans les détails de cette longue enquête, il y a lieu de retenir que les accidents de la circulation sont limités à 4 %. Dans les deux tiers des cas, ils surviennent en période scolaire, et plutôt à domicile qu’à l’école.
Mais surtout les deux tiers des accidents, quelle qu’en soit leur gravité, concernent les garçons qui sont deux fois plus casse-cou que les filles ; plus volontiers ils ont des activités extérieures, les filles étant beaucoup plus casanières.
Ceci souligne la différence existentielle de tempérament entre les sexes et non une influence artificielle de la société comme voudraient nous faire croire les tenants de la théorie du gender. En effet les familles ne sont pas à surveiller toute la journée les enfants pour sélectionner leurs activités. Chacun d’entre eux s’oriente comme il en a envie. Effectivement les garçons ont tendance à prendre plus de risques et à choisir par eux-mêmes des activités plus dangereuses que celles des filles. L’idéologie du gender n’y changera rien.
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