Dominique Bernard égorgé par Mohammed Mogouchkov
A gauche Dominique Bernard, à droite son assassin Mohammed Mogouchkov

« S’ils ne vous évitent pas, s’ils ne vous offrent pas leur soumission et ne cessent de vous combattre, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. » (Coran, sourate 4, verset 91)

Nos confrères de Boulevard Voltaire viennent d’épingler le ci-devant Pierre Plottu, journaleux « chargé de l’extrême droite » à la Pravda wokiste et islamo-gauchiste, autrement dit à Libération, le journal des bien-pensants.

Pourquoi tirer à vue sur ce pauvre Plottu ? Tout simplement parce que sa recension de l’égorgement du professeur d’Arras, Dominique BERNARD, relève de l’aveuglement idéologique le plus abject.

Pour lui, l’égorgeur est peut-être un extrémiste, mais pas plus que les gens de chez Reconquête. Il déclare en effet que « Sur Twitter, Mohammed Mogouchkov s’était abonné aux comptes d’Éric Zemmour et du militant identitaire Damien Rieu, parallélisme troublant entre discours extrêmes. » 

Ce qui fait ironiquement écrire à Arnaud Florac, de Boulevard Voltaire, qu’heureusement il y a Pierre Plottu pour parler des vrais problèmes :

« Ce journaliste de Libération est spécialiste de l’extrême droite. C’est un homme de devoir qui ferait passer Albert Londres ou Joseph Kessel pour des pigistes de la PQR. Son créneau à lui, ce n’est pas l’islamisme. Son combat est plus urgent, plus nécessaire. Car il y a en France, rendez-vous compte (mais vous ne pouvez pas ne pas l’avoir vu), des centaines de milliers de SS, peut-être des millions, qui, chaque jour, impunément, nous pourrissent la vie. Ils écoutent Erika à fond dans le RER, ils posent leurs bottes de cuir sur les sièges des bus, ils insultent les filles en bavarois, mais on préfère baisser les yeux. Et il en arrive chaque année davantage, d’Autriche ou de Prusse, par le jeu du regroupement familial ; vous pouvez croiser leurs familles nombreuses, généralement escortées d’une matrone aux longs cheveux tressés, dans les zones commerciales. Ils ont gardé leur costume (culotte de peau, robe longue brodée), ils se parlent allemand dans la rue : on voit bien qu’ils ne veulent pas s’intégrer. « Les classes blondissent », constatent les professeurs, qui d’ailleurs s’autocensurent en classe, quand ils parlent des chevaliers teutoniques en cours d’histoire. « 

Rappelons simplement aux aveugles idéologues de Libé – atteints de confusion mentale volontaire – cette sourate 4 (An-Nisaa) du Coran qui commande en son verset 91 : « S’ils [les non-musulmans] ne vous évitent pas, s’ils ne vous offrent pas leur soumission et ne cessent de vous combattre, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. »

Voilà, en effet qui est clair et qui a dû donner à Mohamed Mogouchkov de légitimes raisons musulmanes d’égorger un sale kâfir (1).

Paul DEROGIS

(1) Un kâfir (en arabe : كافر, kāfir, « mécréant, incroyant, ingrat, infidèle »), au pluriel kouffar (en arabe : كفار, kuffār, parfois francisé en « cafre ») est un terme arabe à connotation péjorative désignant celui qui n’est pas croyant en l’islam. Simplement, cela signifie un non-musulman (Wikipédia).

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