En cette période de Noël nous ne pouvons que nous pencher sur l’amour existant entre une maman et son enfant, la Sainte Vierge et l’enfant Jésus. Mais c’est la science elle-même qui nous offre un magnifique conte de Noël.
Alors que les tenants de la culture de mort nous racontent que l’enfant dans le sein maternel n’est qu’un caillot, un débris qui est évacué au gré du droit de la femme à disposer de son corps… Ces hypocrites font semblant de dire que l’enfant in utero n’existe pas, n’a pas de droit à l’existence. Pire encore, ils prétendent traquer ceux veulent défendre ces êtres sans défense.
On sait qu’il existe de nombreux liens entre la mère et son enfant. Certes le médecin et la sage-femme peuvent écouter son cœur, le voir à l‘échographie. En prénatal, il est demandé à la maman de caresser son enfant au travers de la paroi abdominale, de lui parler, de lui chanter, de lui éviter la violence des sons. Ces liens sont découverts petit à petit. Mais nous sommes très loin de tout connaître. Mme Liu de l’Université Cornell à New-York a tenté de développer des chèvres hors du sein maternel. Elle a réussi cet exploit. Sauf que ces animaux mourraient très vite : il leur manquait tout simplement les dons du lien avec celle qui aurait dû les porter. Mme Liu a renoncé à ses expériences dites d’ectogénèse.
Conjointement, c’est avec stupeur que les chercheurs se sont rendu compte que lors des maladies de la maman, le bébé dans son sein venait à son secours. Cela a été démontré dans plusieurs maladies dont la plus spectaculaire est l’accident vasculaire cérébral (AVC). Voici ce que nous dit la science. Or voilà du nouveau.
« La grossesse entraîne d’importantes modifications dans le cerveau maternel, qui persistent pendant au moins 2 ans après et permettraient de préparer la mère aux exigences de la prise en charge du bébé » nous explique Le Parisien du 19 décembre.
Telle est la découverte apportée par l’Elseline Hoekzema, l’unité de recherche en sciences cognitives, département de psychiatrie et médecine légale à l’Université de Barcelone en Espagne. Les chercheurs ont étudié par l’IRM le cerveau de 25 femmes primipares (1er enfant). Elles présentaient des modifications cérébrales complexes notamment au niveau de la matière grise impliquée dans les relations sociales. Cette région du cerveau est concernée dans des maladies comme l’autisme et la schizophrénie. Ces modifications persistaient durant au moins deux ans. Citons les auteurs : « ces changements peuvent préparer une femme aux exigences sociales d’une maternité imminente. Ce modèle de changements structurels pourrait être, en outre, utilisé pour distinguer les cerveaux des femmes qui ont finalement accouché de celles qui ne l’ont pas fait, ainsi que pour prédire la qualité de l’attachement des mères à leurs nourrissons dans la période post-partum ». Tout est dit.
Comment rattacher cela à Noël ? Il est logique de penser que l’enfant-Dieu a infusé à sa mère une partie de ses qualités divines. C’est la raison pour laquelle depuis deux mille ans nous l’appelons Sainte Marie.
N’est-ce pas un merveilleux conte de Noël ?
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Merveilleux effectivement ! mais ceux qui pratiquent la culture de mort et veulent l’imposer à tout un peuple et au monde entier, écouteront-ils ou plutôt liront-ils cette merveille que DIEU a créé ?
« La maman ne mettra dans le cœur des petits, une fois de plus, que ce qu’elle aura nourri en elle-même.
Leur âme contiendra ce que la sienne aura contenu.
Les images de son cœur traceront sur eux de grands reflets, comme on voit des ombres avancer dans
les champs sous les nuages blancs des grands cieux déployés et tièdes.
Elle ne pourra supporter leur regard que si son âme est aussi nette que la leur.
Tout ce qui n’est pas frais et pur étonne les enfants et déteint sur leur coeur.
Ils ne seront plus tard force et renoncement, sagesse et simplicité, vertu et joie, que si la nourriture
spirituelle fut candide comme l’avait été le lait originel.
Les visages des mères sont nobles, souverainement clairs lorsque la pureté des vies volontairement
innocentes les a rafraîchies aux mille matins des sacrifices.
Femmes privilégiées, dont la chair tressaille, tournées vers le rêve intérieur, qu’habite et brûle le
grand secret de la vie qui commence… » (Les âmes qui brûlent, Léon Degrelle)
Et cela est si vrai, qu’il est particulièrement émouvant de prendre conscience du rapport à la fois rayonnant et mystérieux qui existe entre le coeur d’une mère et celui de son , et, plus rarement ,ses fils prêtres.
La dernière phrase de cet article me laisse pantois :
« Il est logique de penser que l’enfant-Dieu a infusé à sa mère
« une partie de ses qualités divines.
« C’est la raison pour laquelle depuis deux mille ans
« nous l’appelons Sainte Marie ».
Ainsi les qualités divines de l’Enfant Jésus, auraient un support chimique,
qui se serait transporté dans le cerveau de Marie ?
Et c’est pour ça qu’elle serait Sainte ?
Mais, que je sache, Marie n’a jamais fait de miracles
au cours de sa vie terrestre !
Ce n’est pas de la Foi, cela. C’est du fétichisme, ou de l’enfantillage.
Ceux qui ont la vraie Foi n’ont pas besoin de telles suppositions pour croire.
La Foi a un sens religieux :
les miracles sont des signes, pas des prodiges de foire.
Quant à Marie, sachez que, tourneboulée par l’annonce de l’Ange,
et ne tenant plus en place,
elle courut trouver sa cousine Elisabeth, tout en composant le Magnificat.
A la suite de quoi, à son retour, trois mois plus tard,
Marie passa un sale quart d’heure avec Joseph,
qui, ne pouvant croire à son histoire d’opération du Saint Esprit,
la traita d’abord de tous les noms …
… puis finit par se rendre à l’Ange qui lui était apparu en songe,
et accepta, en quelque sorte, d’être fait « cocu » … par Dieu soi-Même.
Soupape, cette fois c’est un joint de culasse !
On peut être saint sans faire de miracles.
Par ailleurs, s’il est possible d’expliquer ce qui se nomme « la Révélation » par la science, cela ne doit pas gêner au contraire.
De même il est possible d’expliquer scientifiquement la conception virginale de Jésus. Mais la manière dont vous parlez de ces choses ne m’incitent pas à vous donner des explications que de toute manière vous rejetterez.