Selon la police allemande, l’islamiste qui a attaqué jeudi 7 janvier un commissariat à Paris, résidait en Allemagne dans un foyer de demandeurs d’asile. Les autorités locales l’avait classé potentiellement dangereux.
Espace Schengen
La convention de Schengen laissant la libre circulation des personnes entre les Etats qui l’ont signé, les millions d’immigrés qui franchissent les frontières de l’espace Schengen au titre de prétendus « réfugiés », peuvent ensuite circuler librement vers la France. C’est ainsi que cet islamiste a pu se rajouter sans aucun contrôle au quota officiel des milliers de prétendus « réfugiés » que François Hollande a accepté de recevoir en France. Ils sont des millions répartis ainsi dans les pays de l’espace Schengen, aussi les chiffres officiels, déjà beaucoup trop importants avancés par François Hollande ne sont que le sommet de l’iceberg. Ce terroriste islamiste originaire de Tunisie a donc pu venir d’Allemagne en France sans que personne n’en soit informé, et sans aucun contrôle.
« Potentiellement dangereux »
C’est la police allemande qui, dans un communiqué, a indiqué que l’agresseur du commissariat parisien tué jeudi était domicilié « dans un foyer de demandeurs d’asile » dans l’Ouest de l’ Allemagne à Recklinghausen en Rhénanie du-Nord-Westphalie.
Le site allemand Spiegel précise que cet individu -« classé potentiellement dangereux »- avait disparu de Recklingshausen au mois de décembre… Tiens! Mais c’était l’état d’urgence en France à ce moment-là! A quoi donc a servi le rétablissement du contrôle aux frontières de la France ? Comment a-t-il pu passer avec de faux papiers ?… Bref, la disparition en décembre de cet individu n’a inquiété personne.
Enregistré sous diverses identités
L’hebdomadaire allemand Welt am Sonntag, précise qu’il avait peint un symbole de l’État islamique sur un mur de son foyer. Quant à Spiegel, il précise qu’il a posé dans le refuge avec un drapeau de l’Etat islamique. Une revendication djihadiste avec une profession de foi en faveur de l’Etat islamique a par ailleurs, été retrouvée sur lui après qu’il ait été abattu à Paris par un policier en légitime défense.
L’islamiste a été reconnu par ses proches comme un Tunisien nommé Tarek Belgacem, âgé de 25 ans. Welt am Sonntag précise que l’homme s’était fait enregistrer en Allemagne sous plusieurs identités et nationalités différentes, notamment: syrienne, marocaine ou géorgienne. Il avait déposé sa demande d’asile sous le nom de Walid Salihi, selon le journal, sans que cette fausse identité n’empêche l’Allemagne de l’enregistrer sous le statu de demandeur d’asile et laissé en totale liberté.
Après les terroristes islamistes des attentats de Paris du 13 novembre 2015 qui voyageaient beaucoup et en toute sérénité avec de faux papiers entre le Moyen-Orient et l’Union européenne parmi les cohortes immenses de migrants, c’est maintenant cet énergumène qui démontre que le libre accueil des réfugiés qui se déversent dans l’Union en provenance de pays musulmans, est un crime contre les populations européennes et notamment contre les Français. Les technocrates immigrationnistes, et bankstéristes qui gouvernent sans aucun mandat l’Union européenne sont, avec les gouvernants qui leur en ont donné la mission, coupables de haute trahison.
Emilie Defresne
emiliedefresne@medias-presse.info
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